Une nuit de folie

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Anal

Une nuit de folieUn après midi, je regardais un navet avec Alain et le film était si passionnant que, tous les deux sur le canapé nous nous caressions. Je dois dire qu’il sait y faire et qu’il a vraiment des doigts en or. Si bien que j’étais plus excitée qu’une puce, et j’avais très envie de me faire sauter. J’appréciais ses caresses, sur mes seins, et sur ma chatte. J’avais une furieuse envie de me faire baiser comme une chienne en chaleur. Une idée me traversât alors l’esprit. Je montais rapidement dans la chambre pour enfiler une guêpière, et des bas résilles. Je mis un tailleur strict et une jupe m’arrivant juste en dessus des genoux. Un chemisier blanc est venu parfaire ma tenue. Je chaussais mes lunettes, que je ne porte généralement que pour travailler, et qui me donne un air sérieux. « On prend la voiture ! »« OK mais nous allons où ? »« Roule tu verras c’est une surprise ! »Il avait un regard lubrique, se demandant bien qu’elle idée folle m’était encore passée par la tête. Il roulait et je le guidais. Après plusieurs minutes, nous arrivions enfin à destination. Je me dirigeais alors vers un hall d’immeuble, Alain m’emboitant le pas. Je marchais devant lui en tortillant mes fesses afin de le chauffer. J’attrapais des clés au fond de mon sac à main et ouvrais la porte d’un lourd portail. Je m’effaçais pour le laisser entrer et je pris soin de bien refermer derrière nous. Il commença à me peloter en me coinçant contre le mur. Par jeux et pour monter la tension, je le repoussais.« Pas touche vicieux On n’est pas encore arrivé ! »Il me demanda :« C’est pas ici que tu travailles ? »Un sourire coquin, lui donna la réponse. Dans l’ascenseur, il tentât encore de me tripoter et à nouveau, je le repoussais. Pour Alain s’était un supplice de ne pas pouvoir me sauter. J’en jouais, très aguicheuse. « Voilà ! Je suis ta secrétaire très particulière et tu es mon patron vicieux. Tu peux faire tout ce que tu veux de moi. » « T’as des menottes dans ton sac à main ? »Je lui répondis juste d’un hochement de tête et les sortis en lui tendant d’un air coquin. Je m’installais à mon bureau. Alain pris place dans le bureau du patron. A peine assise sur mon fauteuil que déjà l’interphone retentis. « Venez dans mon bureau, j’ai des instructions à vous donner. »Le salop, il prenait son rôle bien à cœur. « Servez-moi un café, s’il vous plaît. »Je fis un café et lui apporta. Une fois tout prêt de lui, je fis mine de trébucher et lui renversais du café dessus. Ce jeu me plaisait énormément, mais mon envie de me faire sauter me taraudait toujours. Il se mit à hurler.« Mais quel maladroite vous faite ! »Il me jeta un œil noir, continuant güvenilir bahis son jeu de rôle. « Parce qu’en plus cela vous fait rire. Je vais vous montrer comment on dresse une secrétaire. Ôtez votre jupe et votre chemisier !»Je m’effeuillais de façon très suggestive. Il me fit asseoir sur son siège, saisit la paire de menottes et m’attacha les poignets aux accoudoirs. J’étais à sa merci et j’adorais çà. Il commença à me caresser le haut de mes cuisses. Chacune de ces caresses, m’électrisaient. Soudain un bruit de clé dans la serrure. Nous sommes pétrifiés tous les deux. Alain cherche des yeux les clefs des menottes pour me délivrer mais panique, elles sont restées dans mon sac. Trop tard, la porte d’entrée s’ouvrait déjà. « Vas te cacher ! »« Mais et toi ? »Il partit se mettre derrière les gros rideaux en velours. Je me sentais plutôt ridicule en guêpière et les mains attachées. Ce que je redoutais se produisit. La porte du bureau s’ouvrit. C’était le patron. Quel spectacle je devais lui offrir, à moitié nue, menottée à son siège. Il me dévisageait et fût surpris et tout excité vu le regard qu’il me jetait. Il ne me demanda même pas ce que je faisais dans cette tenue et cette position. « Ça fait longtemps que vous m’attendez dans cette tenue ? Vous avez envie que je vous baise depuis combien de temps ? »Il s’approcha de moi. La situation maintenant m’excitait beaucoup surtout que je savais que mon mari était là. Il posa sa grosse main sur mon épaule. Sa main descendit très rapidement sur mon sein. Il me pelotait sans douceur. Il voulait profiter de mon corps ainsi offert. Il arrachât mon string sans ménagement et me pénétra de ses gros doigts ma chatte trempée. « Alors petite salope, on avait envie de son patron ? »Alain très excité risqua un regard en ma direction, curieux de savoir comment les choses allaient tourner. Il pouvait me voir jambes écartées avec les doigts de ce vieux cochon dans ma chatte. Le fait de me faire mater par mon chéri, me procurait encore plus de plaisir. J’avançais mon bassin en direction de cette main pour faire pénétrer les doigts de mon boss plus profondément en moi. Il sortit ces doigts de ma chatte, les renifla et me les fît sucer. Il se mit à poil et bandait comme un âne. Il plaça sa queue contre ma bouche et en bonne secrétaire, je lui taillais une pipe, tandis que ces doigts me fouillaient la chatte. Il sortit de ma bouche et me pénétra la chatte d’un coup sec. La situation m’avait tellement excitée que je mouillais abondamment. Je mis mes jambes autour de sa taille pour mieux me faire pourfendre. Mon patron me limait la chatte violement. Alain observait le spectacle türkçe bahis excité de me voir baiser devant lui sans défense par mon patron. Mon orgasme enclenchât la jouissance de mon patron qui jouit en moi.Tout alla ensuite très vite, il se retira de ma chatte. Il se rhabillât et me lançât :«Vous me rangerez tout ce bordel avant de partir, à demain salope ».Il sortit de la pièce, me laissant la chatte dégoulinante de sperme et attachée au fauteuil. Alain sorti de sa cachette la queue bien dressée. Je n’avais pas changé de position, toujours les jambes bien écartés assise sur le bord du fauteuil, la chatte béante. Mon homme, en me traitant de salope me pénétrât et me labourât la chatte en m’insultant. « T’as fait la pute en baisant avec ton patron sous mes sous ses yeux, putain ! »Ces paroles m’excitaient car en plus il avait raison. J’’étais bien une salope et une pute gratuite, et je m’étais donnée à mon boss comme une chienne. J’eu un second orgasme encore plus violent. Nous repartîmes ensuite tout excité par l’aventure que nous venions de vivre. J’étais aussi inquiète de savoir comment allait réagir le patron quand je reprendrais le taf Lundi. Nous étions sur la route pour rentrer chez nous quand Alain décidât d’aller manger un bout dans un routier qui avait l’air sympa. Je n’avais pas vraiment la tenue adéquate pour ce genre d’endroit. Quand nous sommes entrés, un silence c’est fait toutes les têtes se sont tournées vers moi. J’ai rougie et les conversations ont repris mais j’avais l’impression que tous ces mâles ne parlaient que de moi et ma tenue sexy. La serveuse nous plaça à ’une table qui était déjà occupé par un routier. Assez gênée, de devoir partager notre table avec un inconnu, je me suis tout de même résigner. Nous avons commandé le plat du jour. Notre compagnon de fortune, très sympa, nous mis à l’aise, tout de suite en se présentant. Il se prénommait Doumé. Après ce copieux repas un peu trop arrosé, notre voisin de table nous proposât de visiter son camion. J’allais refuser poliment quand mon homme me coiffa au poteau en acceptant avec joie cette proposition. J’avais, après notre expérience au bureau, plutôt envie de rentrer chez nous. Le routier ouvrit la porte de son camion, et s’effaça pour nous laisser entrer. Pour monter dans la cabine habillée comme je l’étais, n je peux vous dire que ce n’est pas chose aisé. Pour m’aider à monter, Doumé avait, sans aucune gêne, posé sa grosse main sur mes fesses. Le contact de sa main sur mon cul, me troubla bien évidement. Mon chéri, les yeux tous brillant, me dit :« Enlève ta jupe, car elle va être toute froissée. » Je protestais.« Ce n’est pas güvenilir bahis siteleri la première fois qu’un inconnu te vois en lingerie ! »J’obtempérai sans broncher, docile comme à mon habitude. Je quittai donc ma jupe, mon tailleur et enfin de mon chemisier. Je me retrouvais en guêpière, bas et string devant ce routier qui ne me quittait pas des yeux. Je pouvais deviner les yeux de ce camionneur rivé sur mon cul. Alain avait pris place contre la paroi ne me laissant pas d’autre choix que de m’allonger entre mon homme et le propriétaire du bahut. Le routier ôta ses effets, puis vint s’allonger tout contre moi. Mon homme lança une perche à son complice de fortune. « A entendre respirer ma femme, je suis certain qu’elle ne va pas pouvoir dormir ainsi, je pense que nous allons devoir la fatiguer un peu plus qu’en penses-tu, Doumé ? » Je n’en croyais pas mes oreilles. Je ne pus retenir un petit gloussement lorsque je m’aperçus que les deux hommes arboraient déjà une belle érection. Je m’enhardis et me saisis de leurs queues en commençant à les masturber doucement. Je sentis une main passer sur ma vulve trempée. Ses gros doigts me fouillaient puis titillèrent mon clito. J’étais aux anges. Je tirais sur la queue de Doumé afin de l’approcher de mon abricot. J’avais très envie qu’il me baise sans aucune retenue. Pendant qu’il enfilait une capote, je regardais mon chéri, tout sourire de voir sa femme faire la pute en se faisant baiser par le premier venu. Le routier sympa pris alors place entre mes jambes, et se mit à me rouler une pelle monumentale. Il me fouillait si bien la bouche de sa langue que j’en suffoquais. Enfin, je sentis sa queue pointer à l’orée des lèvres de mon sexe. De ma main de libre j’appuyais alors sur ses fesses, pour enfin qu’il me pénètre. Je continuais de mon autre main à branler mon homme au rythme de mon plaisir. Je me mis à jouir très fort. Un flot de mouille graissait la queue du camionneur qui me défonçait vigoureusement. Doumé, devant ma jouissance, se mit à accélérer la cadence, ce qui eut pour effet de me faire crier encore plus fort. Il éjacula bruyamment en se cambrant afin de faire pénétrer la totalité de son sexe au fond de mon vagin. A peine fut il sorti de ma chatte béante que déjà celle-ci était investie de la bite de mon homme. Sans retenue comme une vulgaire putain hurlais dans un orgasme dévastateur. Le lundi, quand je suis arrivée au travail, mon patron me convoqua dans son bureau. Maintenant, il allait profiter de moi. Je due subir tous les outrages. Je dois sucer le vieux, me faire prendre la chatte ou bien me faire enculer quand il le souhaite. Je dois bien avouer que cette situation est loin de me déplaire d’autant qu’en tant que salope secrétaire, j’ai le droit à des primes. Le soir quand je rentre du travail, Alain est friand de mes aventures de la journée. Vous imaginez les ébats qui s’en suivent.

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