Tardive rébellion

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Tardive rébellionEn cette fin août, sur l’autoroute qui me menait à Reims où m’attendaient Marie et Julien, une publicité, nous invitant à équiper notre salle de bains d’une douche hollywoodienne, me remémora un souvenir assez cocasse.Les dernières vacances communes, avec mon épouse, avant notre séparation, s’étaient passées avec nos amis, Marie et Julien. Un soir où j’étais de corvée de vaisselle, après une pause cigarette au clair de lune, j’étais remonté. Des ronflements divers émanaient des deux chambres. En entrant dans la salle de bains, je découvris Marie qui m’invita à rester, vu que dans deux minutes elle aurait fini de se démaquiller. Elle manipulait un coton circulaire sur son visage, devant le miroir du lavabo. Ses seins, modestes mais mignons, se reflétaient dans le miroir, animés d’un léger mouvement de balancier. L’arrière de sa petite culotte était en maille fine qui ne cachait rien des deux sphères volumineuses de son arrière-train, ni du sillon sombre les séparant. Comme j’avais un peu picolé, j’ai osé lui avouer que sa croupe somptueuse avait fait l’objet, plusieurs fois, de quelques uns de mes fantasmes nocturnes…— Tu es certainement mon meilleur copain et je te trouve charmant mais, ta femme est une amie que je ne trahirai jamais et je suis encore amoureuse de mon mari, alors, il faudra continuer à rêver mon grand !Elle avait alors passé sa chemise de nuit en coton fleuri, s’était débarrassée très pudiquement de sa culotte et me l’avait jetée avec un sourire coquin.— Pour te faire une petite gâterie en pensant à moi.Marie et Julien m’accueillirent plus que chaleureusement, sur le parking du concessionnaire Renault de Reims nord. Une durite de leur Scénic avait rendu l’âme sur l’autoroute, à leur retour de vacances espagnoles. Il fallait commander la pièce et le garage promettait une réparation dans les 24 heures. J’étais donc venu à leur secours pour ramener ma copine Marie, car elle avait un rendez-vous médical, chez un spécialiste, le lendemain. Notre couple et eux étions amis et intimes de longue date, on avait sensiblement le même âge, une petite cinquantaine. Même quand mon épouse et moi nous nous étions séparés, l’an dernier, Marie avait continué à nous inviter tous les deux, mais séparément, bien évidemment.C’était encore l’été en ce début d’après-midi. Chacun des deux, encore en tenue de vacancier, arborait son bronzage Catalan. Les cheveux blonds de ma copine, coiffés avec une raie au milieu et de grandes boucles autour du cou, avaient perdu de leur éclat. Il me sembla que Marie avait un peu grossi. J’en eus confirmation quand elle essuya ses lunettes en soulevant le bas de son débardeur. Un bourrelet disgracieux prenait forme sous le nombril et, visiblement, elle n’avait pas réussi à verrouiller le gros bouton nacré de la ceinture de sa jupette estivale. Elle était encore très loin de friser l’obésité mais, étant courte sur pattes, elle avait intérêt à être vigilante, la copine.Leur monospace, sièges arrière rabattus, était chargé à ras bord : des sacs, des valises, des caisses de vin espagnol, des cageots de fruits et légumes, trois plants de palmiers dans des pots, une glacière… Marie monta dans le monospace par une portière arrière pour trier les éléments qu’elle voulait transborder dans mon véhicule. Elle se déplaçait accroupie, en marchant en canard, avant de m’avancer des tas de trucs. Sa jupette blanche, décorée de pivoines rouges, remontait de plus en plus au-dessus des genoux, à chaque pas de son exploration. Je distinguais parfaitement sa petite culotte jaune abricot, qui s’épanouissait entre ses cuisses béantes et bronzées. Le tissu synthétique était assez fin pour mouler parfaitement le minou de ma copine : deux protubérances joufflues, des demi-lunes en relief, séparées par une fente qui aspirait le fin textile abricot, sur une dizaine de centimètres.Un détail m’étonna : Marie avait à peine parlé à son époux, et elle ne lui avait même pas fait la bise de départ. À mi-chemin, je réveillai ma copine assoupie sur une aire d’autoroute pour l’inviter à prendre un café.— Tu n’as pas peur de te payer la honte, en ma compagnie ?— Quelle drôle d’idée ! Pourquoi donc est-ce que j’aurais honte de toi ?— Parce que je suis trop grosse, pardi ! Mon cher et tendre me le rabâche chaque jour depuis des mois. Il a réussi à me complexer si fort qu’il m’a gâché mes vacances. Je ne suis pas prête de lui pardonner…Pendant le reste du voyage, Marie me raconta la série de petites humiliations qu’elle avait subies : Julien surveillait ce qu’elle mangeait et lui supprima l’apéro. Julien lui imposa une heure de marche rapide quotidiennement, il trouva des prétextes pour ne plus l’accompagner à la plage et, quand il y allait, il s’installait à 1,50 m d’elle. Le comble de l’humiliation arriva le jour où ils fêtèrent leur anniversaire de mariage. Repas dans un restaurant chic de la côte mais, au moment de la coupe de champagne espagnol, au lieu du petit bijou traditionnel, Julien lui offrit une enveloppe contenant une inscription pour un club Weight Watcher !Quand on arriva, il approchait dix-neuf heures et Marie m’invita à partager un petit repas sympa, sur le pouce. Le temps que je vide mon chargement, elle avait pris une douche et s’était changée. Elle me demanda de préparer un petit apéro, pendant qu’elle passait un coup de fil à son mari, pour lui annoncer qu’on était arrivés à bon port. Avant de mettre fin à la communication, pour titiller un peu la jalousie de Julien, Marie lui annonça qu’elle m’avait invité à partager un très intime repas aux chandelles. Mal lui en prit car, après une répartie de son époux qui avait dû être assassine, Marie resta abasourdie et pétrifiée quelques secondes avant de s’éclipser, les yeux noyées de larmes.Quand elle revint, elle vida d’un trait son verre de mus**t et se planta devant mon fauteuil avec un air déterminé et extrêmement sérieux.— Pierre, je t’apprécie parce que tu n’as jamais eu la langue de bois, alors j’ai besoin que tu me dises sincèrement si j’ai une chance encore d’éveiller un petit désir chez un homme. D’après mon charmant mari, tout à l’heure, un éléphant de mer comme moi, quinquagénaire de surcroît, devrait éviter de fantasmer, au risque de sombrer dans le ridicule.Avant que je trouve une réponse diplomatique, Marie avait ôté sa robe bahis firmaları pour que je juge sur pied. Elle scrutait mon regard, bien campée sur ses jambes, en slip et soutien-gorge rouge piment. Je n’avais aucunement l’intention de faire de la peine à ma copine, visiblement en détresse. Alors, j’ai menti d’une façon éhontée mais, en restant dans les limites du crédible. C’est ainsi que je fus pris à mon propre piège ! Marie me tira de mon fauteuil et m’entraîna dans la chambre conjugale en décrétant un vieux dicton portugais :— C’est au pied du mur qu’on voit le maçon…Elle tira le couvre-lit et le drap du dessus, en me tournant le dos, pendant que je me déshabillais. Le buste incliné au-dessus du lit, elle m’offrait sa croupe emprisonnée dans sa culotte rouge d’où débordaient ses imposantes cuisses musclées. Je ne pris même pas le temps d’enlever mes chaussettes tant le spectacle éveillait en moi des horizons inespérés. Je me mis à genoux derrière elle et je descendis son slip en un éclair. Un délicat parfum de jasmin chatouilla agréablement mes narines. Marie comprit mes intentions, elle souleva chacune de ses chevilles pour éliminer la culotte et, sans aucune pudeur, elle écarta les jambes en appuyant son buste sur le lit, croupe béante.La foufoune dodue, blottie dans son écrin de poils blondinets, ne pouvait que m’inspirer. Je goûtai longuement, j’explorai méticuleusement, je fouillai fébrilement. Tout ce qu’un honnête homme est capable de faire dans ces moments privilégiés. Ce qui m’étonna, c’est qu’avec un si gros cul, on ait un orifice anal si étroit. Je me relevai péniblement, à cause d’une vieille blessure de rugby, mais Marie, déjà assise sur le bord du lit, m’agrippa par les fesses pour entamer une fellation plus que vigoureuse. Je n’eus pas le loisir de sortir le préservatif de ma poche de pantalon car ma copine avait basculé sur le dos et posé ses chevilles sur mes épaules. Le temps de libérer les seins en soulevant les bonnets pour les empoigner et la grande partie de ça-va-ça-vient démarra… Des modulations dans le rythme. Un ou deux petits cris aigus féminins, un duo de halètements rapides et, quelques milliers de spermatozoïdes plus tard, la satisfaction du devoir accompli… en chaussettes.Je fus flatté des remerciements de Marie :— Ça m’a fait du bien, au sens propre comme au sens figuré d’ailleurs.Pour le souper, je remis mon caleçon et Marie sa petite culotte, mais de taille XXL quand même. Pour m’éviter un aller-retour inutile, la copine me proposa de dormir sur le canapé. Marie lança le lave-vaisselle et m’alluma la terrasse pour ma dernière cigarette. En voyant les trois pots de jeunes palmiers auxquels Julien tenait tant, je rappelai à Marie que son mari tenait impérativement à ce qu’ils soient arrosés avant la nuit. Elle arriva sur la terrasse, se débarrassa de son seul vêtement, son slip, elle s’installa à la verticale du premier pot, fléchit légèrement les jambes et sa touffe blondinette laissa échapper un jet dru et puissant. Se déplaçant, astucieusement, l’imprévisible Marie arriva à répartir son gros pipi sur toutes les pauvres plantes innocentes.Le vomissement laborieux d’une cafetière électrique entartrée mit fin à une nuit réparatrice, au petit matin. Marie installait ses confitures maison, des bols et de la brioche décongelée.— J’ai été bien conne de sacrifier ma vie à ce mec, je me demande encore ce qui a bien pu me plaire en lui ? J’ai arrêté de fréquenter des tas de personnes parce que Monsieur ne les supportait pas… J’ai rompu tout contact avec mes copains et copines des beaux-arts parce que Monsieur les trouvait marginaux et provocateurs… Il y a bien dix ans que je n’ai plus assisté à une pièce de théâtre ou un spectacle musical… Je suis devenue la bobonne de mon Seigneur et Maître, le ménage, la bouffe, voilà mon univers ! Quel gâchis… Je peux te dire que Marie va reprendre les choses en mains dès aujourd’hui et que le Julien n’a surtout pas intérêt à la ramener !Connaissant le caractère entier et vindicatif de Marie, j’étais persuadé que ce n’était pas du tout des paroles en l’air ! Pauvre Julien !Je venais juste de m’étirer, sortant du divan, quand ma copine se débarrassa de sa chemise de nuit en coton. Elle trempa deux doigts dans un pot de gelée de framboises. Très méticuleusement, Marie, un sourire jovial aux lèvres, se lubrifia son petit trou du cul, deux fois, consécutivement.— Que la fête commence, mon cher Pierre, je n’ai jamais fait ça mais je veux que tu utilises l’entrée de service, juste pour donner le départ officiel de ma nouvelle vie et tu n’as absolument pas le droit de refuser !Marie me coiffa de mon chapeau noir de berger savoyard qui traînait sur le divan, car elle trouvait qu’il m’allait bien. Dans la chambre, elle se mit à quatre pattes sur la moquette, face à un miroir fixé au mur, dans le sens de la hauteur. Mon reflet, en train de chevaucher ma copine, un chapeau sur la tête me fit honte. Quand Marie commença à grimacer dès que trois ou quatre centimètres de mon pénis la pénétrèrent, courageuse, elle insista pour que je persévère mais, d’un commun accord, on abandonna peu de temps après. L’orifice était trop étroit et refusait toute dilatation. Par mesure d’hygiène, j’enlevai le préservatif et une fougueuse levrette, à la hussarde, mit un terme à nos galipettes matinales.Quand, quelques semaines après, je rencontrai Julien poussant un caddy dans Auchan, il avait triste mine. Complètement dépassé par les événements et résigné, il m’expliqua ses malheurs : il faisait les courses sinon il n’aurait rien à se faire à manger de la semaine. Marie n’était pratiquement plus jamais à la maison ; Julien se tapait tout, le ménage, le repassage de ses chemises… Elle faisait une bouffe en ville avec ses copines régulièrement, plus le ciné, plus les réunions Weight Watcher et la piscine… Sans oublier les conférences hebdomadaires sur l’histoire de l’Art auxquelles j’assistais aussi, en théorie d’ailleurs…En fait, je n’y étais jamais allé, à ces conférences. Marie m’avait demandé de lui servir de témoin et d’alibi, au cas son mari se montrerait curieux. À l’heure de la conférence, Marie faisait des galipettes, dans une chambre de motel, avec son grand amour de jeunesse qu’elle avait retrouvé à l’Amicale des anciens des Beaux-arts. Depuis son retour de vacances, kaçak iddaa Marie et moi nous étions revus régulièrement mais, un jour, comme elle ne voulait rien me cacher, elle m’avait demandé l’autorisation d’interrompre nos relations pour renouer avec son premier grand amour. Ce fut un court essai car, le bellâtre avait changé depuis trente ans, et Marie aussi, bien évidemment.Après la Toussaint, Marie reprit donc ses intermèdes extraconjugaux avec moi.Julien ne se rendait absolument pas compte des bouleversements psychologiques qui s’étaient opérés chez son épouse. Inconscient, il se porta volontaire pour le chantier d’une usine en Turquie, avec une belle prime financière à la clef. Deux mois de travail sur place, alternés avec huit jours de vacances à la maison. Marie m’entraîna ainsi dans quelques sorties, dont quelques jours à Bruges où une exposition exceptionnelle réunissait les peintres flamands.Dans notre pension de famille de Zeebrugge, on fit la connaissance d’un couple normand de jeunes retraités à qui on apprit à décortiquer les petites crevettes grises de la mer du Nord. L’Honfleurais, Pascal, était élégant : blazer bleu avec pochette, chemise blanche et foulard de soie assortie à la pochette. Odile, son épouse, faisait un peu mémé et portait un chemisier classique en satin blanc, recouvert en partie par un châle très coloré, du type de ceux des riches andalouses à la féria de Séville. À la fin du repas, Marie emprunta le superbe châle andalou d’Odile pour l’essayer. Je crus comprendre pourquoi la petite dame aux cheveux bouclés portait cet accessoire vestimentaire, inattendu. Le chemisier d’Odile dévoila une poitrine gigantesque. Des seins énormes, soutenus par un soutien-gorge renforcé dont on apercevait l’armature sous le corsage.Le lendemain, on passa donc toute la journée au musée, profitant des commentaires éclairés de Marie. Pascal semblait aussi très intéressé par l’arrière-train de ma copine car il y jetait de nombreux regards discrets. Faut dire que Marie portait un jean super moulant, avec les bas du pantalon enfoncé dans de hautes bottes noires à talon. De retour à l’auberge, je lui fis part de l’intérêt que lui portait le normand et, comme elle avait remarqué mon regard libidineux sur les mamelles prometteuses d’Odile, on décida de tenter notre chance auprès des jeunes retraités. Marie ne laissa jamais vide le verre d’Odile, elle lui expliqua qu’on était très amoureux l’un de l’autre mais que, pour éviter la routine conjugale, on se permettait quelques petites parenthèses de temps en temps avec des couples sympathiques et, si cela les tentait, ma foi… Pascal semblait partant mais Odile, bien que légèrement pompette, beaucoup moins.Elle m’accompagna dehors pour prendre l’air pendant que je fumais ma petite Gitane filtre d’après repas. Quand on réintégra la salle de restaurant, Marie et Pascal avaient disparu, mais un mot de la main de Marie m’était destiné sur la table :J’ai emmené Pascal dans ma chambre, je te téléphone sur ton portable quand on a fini, bisous.Odile marqua le coup puis, contre mauvaise fortune… Un peu tendue, elle commença à déboutonner son chemisier. Je l’arrêtai immédiatement, elle allait me gâcher mon fantasme ; c’était à moi de mettre à nu ses seins hors normes. Afin de garder le meilleur pour la fin, je dégrafai la jupe et je m’assis sur le fauteuil de la coiffeuse pour baisser son slip en fin coton blanc, parsemé de gros points rouges.Une surprise désagréable m’attendait : un minou imberbe, juste une protubérance fendue. Je lui rendis hommage dignement quand même. Semblant ravie de mes préliminaires, Madame osa enfin saisir mon membre dans sa petite main alors que je quittai mes vêtements. Quand le chemisier échoua sur le divan, l’instant privilégié arriva. Je passai derrière ma partenaire pour dégrafer le soutien-gorge. Odile osa prendre une initiative sympathique, elle colla son petit derrière contre mon pénis, tout en frétillant des hanches. J’en profitai pour passer les bras sur les côtés et empoigner les mamelles tant convoitées. Mes mains étaient trop petites pour les englober totalement. Je les pétrissais avant de me remettre face à elle pour m’en goinfrer longuement. L’effet de l’alcool absorbé par Odile provoqua certainement son réveil sensuel. Elle me poussa dans un fauteuil, inclina le buste en agitant ses gros nichons sur ma queue qu’elle emprisonna dans un étau bloqué par ses deux mains fermes. Odile me lécha alors le gland, souriante et ravie de l’effet produit, puis elle s’empala sur mon sexe tendu vers le plafond, tendant ses jambes et les fléchissant lentement pour varier la pénétration de mon pénis. Quand elle se releva à cause d’un début de crampe, je lui fis effectuer un demi-tour et je la pénétrai fougueusement, m’agrippant avec les mains aux mamelles moelleuses, éprises de liberté spatiale.L’hiver se montra rigoureux et, la période des fêtes écoulée, Marie et moi continuions à nous rencontrer régulièrement. Elle n’avait plus l’angoisse de se montrer nue car, avec le régime qu’elle suivait et les activités sportives qu’elle s’imposait, Marie avait un ventre parfaitement plat, sans la moindre parcelle adipeuse.Vers la fin mai, une semaine quasi estivale annoncée remit du baume au cœur à tout le monde, les robes d’été sortaient des armoires. Comme tous les vendredis, après le boulot, j’attendais mon amie au « Courte-paille » en sirotant un Campari/crémant. Marie, un peu gênée, m’annonça qu’elle ne restait pas, elle avait rendez-vous avec un nouvel ami. Je n’avais pas à être jaloux, juste peut-être un peu vexé. Un médecin marocain, de l’hôpital de Meknès, était venu, pour deux semaines, faire connaissance avec le scanner nouvelle génération de l’hôpital de Marie. Elle y était justement manipulatrice sur cette machine. Il n’était plus très jeune et il était veuf, avec des yeux magnifiques. Marie ne partit pas de suite car elle avait donné rendez-vous, de sa propre initiative, à une de ses meilleures amies de lycée.L’imprévisible Marie avait manigancé une rencontre entre sa copine et moi, comme pour compenser sa trahison. D’après elle, nous ne pouvions que nous entendre car sa copine, Sigrid, en était à son troisième mari, de quinze ans plus âgé qu’elle, et le bougre n’avait plus de prostate depuis quatre ans.Sigrid ne passa pas inaperçue quand kaçak bahis elle se pointa dans le restaurant. Un chignon de cheveux roux entremêlés, au-dessus de la tête, sur une hauteur de trente centimètres, une robe verte qui se terminait en corolle sous la taille, du genre de celles portées du temps de Salut les Copains, en 1960… des hauts talons rouge pompier assortis aux bas et à sa ceinture kitch en plastique brillant. Une poupée Barbie quinquagénaire, de 1,80 m, en comptant le chignon et les talons hauts.Les présentations faites, Marie s’éclipsa. Le décolleté généreux de Sigrid dévoilait la naissance du sillon qui séparait des seins lourds, parsemés de tâche de rousseur. Un accord fut vite trouvé, en tous cas pour un essai. Je l’emmenai chez moi après le repas pour le classique dernier verre. Je dus m’arrêter dans un petit chemin de terre pour que Miss Barbie satisfasse un besoin urgent. Quand je lui demandai, à tout hasard, l’autorisation de me rincer l’œil, elle rigola et ajouta que les hommes étaient bien tous pareils ! Sigrid enleva sa petite culotte en satin avant de l’abandonner sur le siège passager. Elle se plaça devant les phares de la voiture, saisit le bas de sa robe et se troussa jusqu’à la ceinture, me fixant avec un regard coquin. Les jambes gainées de rouge étaient bien galbées mais un peu arquées. Elle les écarta légèrement avant de les fléchir. Le minou était invisible dans la touffe de poils hirsutes et frisés d’un roux flamboyant.Dans ma chambre, Sigrid m’avertit solennellement qu’il était absolument interdit de toucher à son chignon. Mis à part cette contrainte, tout se passa parfaitement bien. Un parfum subtil de chèvrefeuille émanait de sa touffe rousse. Quelques poils roux me chatouillèrent les narines quand la rouquine m’emprisonna la nuque et me demanda d’aller plus vite. Ne sachant ce qui devait aller plus rapidement, j’accélérai la caresse de ma main gauche sur le clitoris, la vitesse de mes coups de langue et le rythme de mon index droit, en visite dans son petit trou. Sigrid devait être vraiment en manque de câlins, car ma bouche fut inondée juste au moment où elle poussa un râle grave.D’après elle, je méritais une récompense. Elle s’isola dans la salle de bains avec son grand sac à main en plastique rouge.Sigrid me fit asseoir sur le lit pour m’accorder une fellation avant de me chausser d’un préservatif. Elle écarta les jambes, se plaça à la verticale de mon membre, le saisit pour le guider dans la petite entrée de service. C’est elle qui géra sa sodomisation, très concentrée, millimètre par millimètre, alternant les petites grimaces avec des sourires pour me rassurer sur la bonne marche des événements. Elle avait dû mettre une tonne de gel de lubrification car mon pénis s’enfilait sans difficulté majeure. Quand elle jugea les préliminaires terminés, elle se mit à quatre pattes sur la moquette et je pus conclure à la hussarde, mais avec délicatesse. On n’est pas des sauvages quand même !Je revis Sigrid une dizaine de fois, jusqu’aux vacances d’été. Son vieux mari et elle émigraient dans leur résidence secondaire en Ardèche, jusqu’en septembre.Je croisai Marie et Julien, par hasard, un mois après des adieux dantesques avec la rousse incendiaire. Marie, bronzée et radieuse, revenait de vacances passées avec son mari. Je croyais le couple réconcilié et la révolution conjugale de Marie achevée. Que nenni : Julien repartait sur son chantier turc et Marie prenait le large pour trois mois. Le pauvre Julien avait été mis devant le fait accompli : Marie avait, paraît-il, été détachée par son administration pour encadrer une formation d’opérateurs sur un scanner identique au sien. Julien, bien naïf, se montra ravi de la promotion de son épouse qui partait pour trois mois… à l’hôpital de Meknès.ÉpilogueJe me demandais si Marie allait s’assagir après son aventure marocaine, tout en cueillant les framboises gorgées de soleil dans une parcelle de son jardin. En ce début de septembre, bizarrement caniculaire, les framboisiers remontants pliaient sous les fruits gorgés de soleil. La voisine de leur pavillon m’aidait, car Marie ne voulait absolument pas perdre la récolte. Cette adorable mamie devait transformer les fruits en confiture. Roselyne avouait soixante-quatre ans et ne semblait pourtant pas souffrir de la chaleur d’enfer qui régnait. Elle portait un tablier de travail qui n’était plus de première jeunesse et des savates hors d’âge. Ses cheveux, coupés très courts, étaient teintés quasiment en rouge.Certes, elle n’avait pas inventé l’eau tiède, mais elle compensait par une gaîté naturelle très communicative. On était aux derniers framboisiers, plus touffus, quand Roselyne sortit son téléphone portable de la poche de son tablier informe pour répondre à un appel. Elle écouta sans rien dire, pour le moins excédée des propos entendus. Quand elle prit la parole, elle vida son sac, la Roselyne :— Ma chère fille, que tu sois d’accord ou pas, je participerai à la sortie, dans les vignobles Alsaciens, avec le club des anciens ! Depuis la mort de ton père, tu me persécutes en me disant ce que je dois faire ou pas faire, Y EN A MARRE…Enchantée de sa sortie théâtrale, elle remit le portable dans sa poche. Décidément, Marie avait fait des émules dans le village lors de sa révolution féministe, individuelle et portative.Je dus me séparer de mon tee-shirt, imbibé de transpiration, pour finir la cueillette. Des ronces, vicieusement immiscées dans les framboisiers, s’agrippèrent au bas de l’affreux tablier de Roselyne. Elle voulut passer en force pour se sortir du piège. Mal lui en prit, car le bas du tablier resta accroché. La pauvre dame se retrouva les fesses vraiment à l’air car elle ne portait pas de culotte, à cause de la chaleur certainement. La croupe blanche était aussi majestueuse que celle de Marie. Quel cul ! La peau était juste un peu fripée, mais les grosses fesses et le bel abricot fendu, un peu trop mûr, qui apparut entre les cuisses béantes provoquèrent une déformation inattendue d’une partie de mon short. Roselyne, énervée de ne pas s’en sortir seule, se retourna pour solliciter mon aide. Quand son regard découvrit l’érection sous mon short, elle me scruta du nombril jusqu’à mes moustaches et elle me crucifia sur place :— On se calme mon jeune ami, d’abord j’ai horreur des hommes au torse trop poilu, ensuite, je trouve votre petit bidon très laid. À votre âge, on devrait montrer plus de dignité pour son apparence, il faut impérativement demander à Marie l’adresse de Weight Watcher.

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