Les Véritables Aventures d’Olivier – E

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Les Véritables Aventures d’Olivier – ECette aventure, comme toute celles que je couche sur papier, sont totalement authentiques et vraies. Toutes, je les aie vécues, savourées, rien n’est inventé, tout est issu de mes souvenirs, exaltants, excitants comme je les perçois encore.J’ai aujourd’hui l’Age du Christ, 33 ans, mais loin d’être un enfant de cœur, j’ai déjà eu tellement de frasques, que je trouve intéressant de les raconter… Je me sens prêt.Je me prénomme Olivier, 1m73, 60 kgs, brun, aux yeux verts très très clairs qui font fureurs je dois le reconnaitre. Sportif, sans être musculeux, je n’ai pas la prétention d’être un bon coup. Je suis homme ordinaire. J’ai du charme c’est vrai, mais j’ai aussi, il faut l’avouer, une part non négligeable de chance qui m’a toujours servi…Ma première fois, mon dépucelage, l’entrée dans le monde adulte, je ne l’avais pas imaginé comme cela…Adolescent, tout juste majeur, internet en était encore à ses balbutiements, seul mon imagination et les téléfilms ridicules du dimanche soir sur une grande chaine publique, envahissaient mes pensées lorsque je me masturbai, tous les jours, parfois plusieurs fois à la suite… Et comme tous les ados, j’étais pétrifié à l’idée de parler à une fille… et puis le hasard, la chance même, ont croisés ma route…L’été de mes 18 ans, mon père m’avait obligé à travailler afin de m’apprendre la valeur de l’argent, et que tout bien se mérite. Je ne rechignai pas, il m’avait dégoté un travail de magasinier, avec des horaires qui me convenaient parfaitement : 5h00 – 13h00, du lundi au vendredi. Ainsi, tous les après-midi je pouvais sortir et m’amuser avec mes amis.Nous habitions un quartier résidentiel huppé d’une petite ville de province. Mon camarade de jeu préférentiel était mon voisin. Toutes les après-midi ou presque nous nous retrouvions chez l’un ou l’autre afin de faire passer le temps, avec des activités dont l’intérêt m’a échappé avec le temps.Cette après-midi-là, un mercredi me semble-t-il, il faisait très chaud. Pas un nuage à l’horizon. Impossible de faire du sport ou quoi que ce soit de physique, tant la chaleur était étouffante. Je m’ennuyais à mourir. Je me décidai à aller retrouver une fois encore mon voisin. Je n’avais que la rue à traverser, peu de périls en vue !La maison de mes voisins, comme la nôtre d’ailleurs, était un pavillon relativement classique : belle bâtisse protégée par un grillage, toiture en tuiles rouge, et une piscine privée dans le jardin.Je me présente au portillon et sonne. Pas de réponse. J’insiste. Toujours pas de réponse. A cet instant, peut-être aurai-je du retourner chez moi, mais étant très proche de sa famille, je choisi d’entrer, et de faire le tour de la propriété. A cet instant je suis persuadé qu’il est chez lui, sans doute dans la piscine, ou en train de dormir autours.Je fais le tour de la maison, et en un instant ma vie va basculer. Rien ne laisse présager ce qui va se produire ensuite :”Eh bien, il ne faut pas te gêner”.Cette voix, je la connais. bahis firmaları C’est celle d’Annie, la mère de mon voisin, je ne l’ai encore pas vu, mais elle était au bord de la piscine, et elle, elle m’avait vu…Je tourne la tête, et au moment où mon regard tombe sur elle, je me fige… ébahi. Je deviens blanc, livide, tétanisé. Annie est allongée sur un transat au bord de l’eau, en train de bronzer, elle est nue comme un ver !Je reste stupéfié. Je suis incapable de bouger.Elle se lève, je ne bouge toujours pas, obnubilé par les formes de cette femme. Annie doit avoir la petite cinquantaine, brune, de taille moyenne, bien conservée. Ses seins, de taille moyen tombent légèrement et son sexe est couvert par une épaisse touffe non entretenue : je ne peux détacher mon regard de son corps. Je suis pétrifié !Je la dévisage de haut en bas, ses jambes un peu grassouillettes, ses hanches amples avec un peu de cellulite, son pubis touffu, son ventre avec quelques bourrelets et bien sûr sa poitrine. Délicieuse poitrine. Ses seins en forme de poires me subjuguent plus que tout.”Tu ne détourne, même pas le regard, quelle assurance !” me lance t’elle en s’approchant.Je deviens rouge écarlate désormais, car ce n’est pas de l’assurance, c’est tout le contraire… Le temps s’est arrêté. La mère de mon ami se tient en face de moi, je ne dis toujours rien, incapable, je ne sourcille pas !”Mon fils est chez sa grand-mère” continue t’elle, toujours en avançant.Je ne dis toujours rien.”Tu n’as jamais vu de femme nue ?”Muet. Toujours.Elle se tient maintenant à 50 centimètres de moi, nue, toujours, elle ne s’est pas couverte.”Oh oh, je te parle”.”Pardon, pardonnez-moi Annie, je ne voulais pas, je suis tellement gêné, je m’en vais, et d’ailleurs je n’ai rien vu”. Réponds-je.Le tout, en bégayant… horrible !Sans que je m’y attende, elle me prend par la main.”Je t’impressionne tant que ça ? Tu n’as jamais vu de femme nue ?””Non jamais””Et cela te plait ?”Aucun mot ne sort de ma bouche. Je reste pétrifié, pourtant, je bande comme un taureau, mon slip et mon short vont exploser.Après quelques secondes de silence gênant, elle lance :”Suis moi, nous allons régler cela à l’intérieur.”Sans me demander mon avis, elle me tire par la main, et m’entraine à l’intérieur de la maison. Je ne dis toujours pas un mot. Nous passons le salon, là où habituellement nous squattons avec son fils, puis, à mon grand étonnement, elle tourne vers une pièce que je ne connais encore pas : sa chambre.La pièce est petite, le grand lit double prend la majeure partie de l’espace disponible. Une seule fenêtre donne sur la rue. Les volets sont fermés pour protéger la maison de la chaleur. De chaque côté du lit, deux petites colonnes faisant office de tables de chevet.Je n’ose toujours pas croire à ce qui est en train de se produire. Au plus profond de moi, je reste persuadé qu’elle est en train de me faire marcher. Qu’au final la situation va se retourner contre moi, qu’elle va me faire une leçon de moral, prévenir mes kaçak iddaa parents… Ohlala comment justifier le fait que je suis entré comme un voleur chez mes voisins auprès d’eux. Je pense trop. Et trop négativement surtout. Elle me sort de mes pensées cauchemardesques :”Laisse toi faire, ne dis rien, cela va bien se passer, tu vas voir.”Elle retire ses lunettes de soleil. Pour la première fois mon regard croise le sien, et il n’est pas du tout comme je m’y attends, sombre et accusateur. Non au contraire, je sens du désir lorsqu’elle me transperce avec ses yeux noirs ébène.Je ne dis toujours rien, je reste immobile, l’air idiot et perdu. Elle continue de me fixer droit dans les yeux, et dans le même temps elle a entrepris de m’enlever mon T-Shirt, mon short, et même mon slip !Je suis à mon tour en tenue d’Adam, mon sexe rigide et tendu au possible, il me fait mal tellement il est dur. Elle le regarde, l’effleure délicatement avec sa main. Un sourire malin se dessine sur son visage. Je reste impassible. Je ne pense à rien.En continuant de me dévisager, elle pose sa main fermement sur mon torse et me repousse brutalement sur le lit. Je suis allongé sur le dos. Je ne bouge pas. Je regarde le plafond.Je la regarde du coin de l’œil contourner le lit. Elle cherche quelque chose dans sa table de chevet… Elle sort un sachet, et de cette protection, un préservatif… Enfin, je crois, je ne suis pas sûr, je n’en ai jamais utilisé…Les secondes semblent interminables. Je suis tellement effaré que cela s’apparente à de la torture… C’est tout le contraire. Je ne le sais encore pas. J’ai juste peur et en même temps je suis tellement excité. Curieux contraste.Annie est maintenant à genou sur lit, à hauteur de mon sexe. Elle défait l’emballage et m’enfile le capuchon avec ses deux mains, délicatement, avec un doigté efficace. La sensation de ses mains sur moi renforce à la fois mon envie et mon appréhension. La texture du plastique emprisonnant mon membre n’est pas très agréable.Soudain, dans la pénombre, je la vois bouger. Je distingue son ombre fondre sur moi.Et d’un seul coup, je sens la chaleur.Une chaleur douce et humide, envahi mon sexe… Je suis en elle, elle est autour de moi plutôt ! C’est agréable. Très Agréable.Elle commence à bouger doucement, de haut en bas. Ses mouvements sont restreints. Je la regarde toute entière. Elle a fermé les yeux. Elle se caresse les seins avec le bout de ses doigts. Elle gémit, doucement, lentement… J’ai l’impression qu’elle ne me calcule pas, qu’elle ne calcule plus rien. J’ai l’impression d’être l’objet de ses désirs, sans que ma présence soit importante. L’espace d’un instant cela me frustre… Mais j’oublie vite et profite de ce moment…La sensation de frottement est agréable au possible. Toujours tétanisé je reste immobile, mes mains le long du corps. Je regarde mon sexe disparaitre dans le sien puis réapparaitre et ainsi de suite. Quel beau ballet. Subjuguant. J’admire les formes de son corps de femme mature. Je contemple ses seins kaçak bahis tombants, ces deux poires tellement bien dessinées, je scrute son visage et les mimiques qui changent à chaque seconde… Quel bonheur.Elle se penche en avant, sur moi. Ses deux mains agrippent et griffent mes épaules. Elle est tellement proche. Je sens son délicieux parfum. A chaque mouvement vers le bas de sa part, le bout de ses seins touchent mon torse. Les sensations sont décuplées. Je sens la sève montée en moi. Je ne vais plus tenir longtemps :”Je jouis” m’exclame-je tout fort.Je ne pense à rien du tout, je profite du moment… La sensation de plaisir est indescriptible. Je n’aurai jamais cru que jouir serait aussi intense.Je retrouve peu à peu mes esprits. Je suis incapable de dire nos ébats ont durés 10 secondes ou 10 minutes…Quel plaisir immense…Silence… Comme depuis mon entrée dans son jardin, je suis un pantin. Immobile et silencieux. Au bout de quelques instants, je la sens bouger en me chuchotant à l’oreille avant de la mordiller :”Voilà tu es un homme, j’espère que cela t’a plu autant qu’a moi ! Evidemment cela restera entre nous. Tu sais, je suis seule à la maison tous les mercredis après-midi cet été. Reviens me voir, nous jouerons ensemble, je te ferai découvrir des plaisirs que tu ne soupçonne même pas.”Elle se retire. Le froid envahi mon membre collant. Je la sens enlever le préservatif délicatement. Au final, j’avais oublié que j’en portais un. Je ne la regarde pas, mes yeux fixent béatement le plafond. Je ne pense à rien… le vide absolu !Et puis, je retrouve enfin petit à petit mes esprits. Je la regarde quitter la chambre. Ses fesses se dandinant en rythme. Je trouve le spectacle formidable. Je me lève, me rhabille machinalement, mécaniquement, et déguerpis comme une voleur, en prenant soin d’éviter Annie. Elle s’est éclipsée dans la salle de bain. Tant mieux, je n’aurai pas besoin d’affronter son regard ni lui dire au revoir.Je ne suis jamais revenu voir Annie, malgré sa proposition. J’étais très peu à l’aise. Je n’ai jamais non plus compris pourquoi elle avait fait ça. Je ne sais pas si elle a vraiment apprécié comme elle me l’a glissé. J’ai évité son regard pendant des années, De son coté, elle n’a jamais cherché non plus à m’approcher. Rien ne fut jamais comme avant. Du jour au lendemain je me suis éloigné de son fils, sans qu’il ne sache jamais pourquoi.Cette expérience hors norme à fait de moi un homme. Annie à fait de moi un homme. Je suis un homme ! Je ne l’ai jamais raconté à personne, j’ai toujours gardé ce merveilleux souvenir pour moi tout seul, jusqu’à aujourd’hui.Je me suis masturbé en pensant à elle pendant bien des années, et encore maintenant parfois je l’avoue… Je revois encore la scène, du point de vu d’un personnage omniscient comme si c’était hier. J’imagine ce qu’elle m’aurait fait découvrir si nous nous étions revu. Même si depuis, j’ai découvert beaucoup d’aspects de ma sexualité. Ma vie a vraiment basculé ce jour-là, mon enfance et mon innocence c’étaient envolées, je n’y étais pas préparé.Suite à cette fructueuse après-midi d’été, je suis resté pendant encore quelques mois un garçon introverti et timide, jusqu’à Nathalie, mais cela c’est une autre de mes aventures…

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