2eme place 11

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2eme place 11(trouver sur le net)Assise au fond d’une voiture de police banalisée, les larmes coulaient le long du visage de Terri. Elle était seule — l’officier qui l’avait arrêtée et son partenaire étaient dehors en train de parler à un gang d’ados. Elle observait les deux flics qui parlaient au groupe de gamin pendant qu’un graffiti obscène séchait sur le mur derrière eux.Ç’avait commencé comme une nuit ordinaire pour Terri. Carrie était venue chez Danielle et les deux femmes s’étaient assises pour planifier de nouveaux moyens d’humilier leur salope, le tout pendant que Terri allait de l’une à l’autre sous la table.Les deux amies bavardaient gaiement. Danielle se vantait du contrat qu’elle avait conclu aujourd’hui et de la façon dont les nichons et le cul de Terri avaient été essentiels pour finaliser la vente. Puis elle interrogea sa camarade sur Steven, l’ex-mari de Terri (et l’actuel époux de Carrie, après qu’elle lui ait purement et simplement volé.) La nouvelle mariée jacassa interminablement sur sa vie merveilleuse avec Steven, prenant soin de décrire explicitement leur vie sexuelle, et remercia profusément Danielle de lui avoir “présenté” Steven. Au même moment, Terri sanglotait misérablement, ses larmes mouillant les cuisses d’une des deux femmes qu’elle broutait. Ses deux tortionnaires se plaisaient à raconter les fois où elles allaient chez Terri et Steven, baisaient le mari pendant son sommeil et forçaient Terri à regarder.« En tout cas… Steven est un mec génial. C’est formidable qu’il se soit enfin trouvé une vraie femme, » dit Danielle. Un petit reniflement d’écœurement se fit entendre de sous la table, qui fit réagir immédiatement Danielle. « Terri, y a un problème là-dessous ? » demanda-t-elle clairement, se penchant sous la table et tordant cruellement un téton de son esclave.« AIIIIIIIEEEE ! Non, Madame.— C’est bon à entendre. Carrie vient de faire l’amour à son mari, et elle a eu la générosité de venir ici pour te permettre de lui lécher le foutre hors de sa chatte. J’espère que tu lui seras reconnaissante.— O-oui Madame.— Enfin peu importe, je crois que tu as besoin d’être puni. »Elles finirent par trouver une tache pour Terri. Elle devrait s’habiller dans une de ses tenues les plus vulgaires : une mini-jupe en cuir noir avec un top rouge qui arrivait à peine à contenir ses faux nichons 95 F. Elle dut se repeindre le visage de maquillage et de rouge à lèvres brillant. Pas de maquillage pour les yeux — la bimbo avait encore tendance à se lancer dans des pleurnicheries quand elle était au milieu d’une session d’humiliation. « Tu dois arrêter de prétendre que n’aime pas faire la pute, » s’était cruellement moquée Danielle à plusieurs occasions.Après l’avoir habillée, les deux femmes la conduisirent dans la partie nord de la ville, où se trouvaient les quartiers sordides bien connus pour leur trafic de drogue, de prostitution, et d’autres crimes mafieux. Là-bas, Terri fut poussée hors de la voiture, et on lui ordonna de “ne pas revenir avant d’avoir gagné 600 dollars !” Elle fut effrayée plus qu’elle ne pensait pouvoir l’être. Danielle l’avait déjà prostituée avant – en fait c’était toute un business, la plantureuse bimbo passait d’habitude quatre nuits par semaine à baiser et à sucer la clientèle que sa patronne lui envoyait. Mais jusqu’à maintenant elle était utilisée comme une call-girl, et n’avait pas à faire le trottoir.La mort dans l’âme, elle sollicita trois types pour leur faire des pipes – les hommes dans le quartier étaient tous bahis firmaları si crasseux que Terri n’avait pas l’estomac suffisamment accroché pour leur proposer autre chose. Puis un gars d’allure décente arriva. Terri mit son prix à 300 dollars.« Qu’est-ce que j’ai pour 300 dollars ? » avait demandé le type.Terri avait nommé tous les actes sexuels dont elle se rappelait, et avant qu’elle ne comprenne ce qui lui arrive, l’homme, un policier en civil, lui avait passé les menottes. Elle était arrêtée pour prostitution sur la voie publique.Levant le nez, elle vit les gamins se faire disperser par les deux policiers à l’exception de l’un d’eux qui fut escorté jusqu’au véhicule de police. Terri regarda le gosse vider ses poches sur le capot de la voiture et être fouillé. Fouille qui débouche sur un couteau à cran d’arrêt et une petite pochette transparente qui devait être remplie de drogue. Terri écouta le policier lire ses droits au jeune homme. Comme il l’avait fait pour Terri une petite éternité plus tôt, ignorant alors ses offres cochonnes et désespérées pour : “s’arranger autrement.”La portière s’ouvrit. « Allez, Juan, tu connais le chemin, » lui dit l’un des deux officiers en lui montrant une place sur la banquette arrière. Terri bougea furtivement son cul de l’autre côté.« Bueno, poulet au moins cette fois tu me donnes de la compagnie, ça valait presque le coup de–— Ta gueule et entre dedans Juan, » ordonna un des policiers, lui saisissant le crâne et le projetant dans la voiture. Il atterrit directement sur les genoux de Terri, et y resta jusqu’à ce qu’elle l’en chasse. Juan fixa alors l’impressionnant décolleté de la bimbo tout en faisant tourner sa langue de façon obscène.« Yo, purée, je retire tout ce que j’ai dit sur vous autres les poulets ! Je devrais me faire arrêter plus souvent !!! » Le jeune homme caressait la cuisse de Terri.« HEY ! hurla Terri. Il… il me touche ! Éloignez-le de moi !— Une pute qui ne veut pas se faire toucher, s’amusa le policier, on ne me l’avait jamais faite encore.— En fait, dit le second officier, ils forment un beau couple, tu trouves pas ?— Ouais, » le premier officier se renfrogna « et ils seront probablement sortis de prison à temps pour qu’elle lui fasse le tarif nuit.— Je ne suis PAS UNE PUTE !!!! » protesta à nouveau Terri.Sur le chemin de retour à la station de police, les flics s’arrêtèrent pour acheter des donuts, laissant Terri terrifiée dans la voiture alors que Juan commença immédiatement à lui peloter les nichons.« ARRÊTE ÇA !!! » cria Terri en lui repoussant les mains, mais il était très persistant.« Hey, j’essaie d’être amical, ok ? » malgré les sérieux efforts de Terri pour lui résister, Juan parvint à faire sortir l’un de ses énormes seins hors de son bustier et posa en même temps la main de la jeune femme jusqu’à sa bite raidit. Elle la retira, tourna son corps vers la porte du véhicule de patrouille, le plus loin possible de Juan.« Hey, c’est quoi ton problème ? Tu n’arrêtes pas de me chauffer, puis tu te tournes de l’autre côté ? PUTAIN NON ! ça va pas se passer comme ça… » Juan attrapa Terri par les épaules et la fit se retourner vers lui.« Je.. je n’ai rien fait pour te chauffer ! Je veux que tu ME LAISSES TRANQUILLE !! »Pour toute réponse, le membre du gang lui pelota à nouveau ses nénés ; cette fois elle se tourna complètement vers lui et le gifla en pleine face. Juan sembla étourdi pendant une seconde, puis avec une vitesse surprenante, il lui donna un coup de poing dans l’estomac.« kaçak iddaa Tu vas regretter de m’avoir frappé, sale garce ! » déclara Juan d’un air de défi, encore un peu humilié de s’être fait gifler. Terri cherchait à reprendre sa respiration après le coup de poing pendant que le jeune homme faisait descendre son pantalon, libérant de son enfermement son chibre raidi. « Tu vois comme tu m’as chauffé ? Viens là… » Juan attrapa une poignée des cheveux blonds de Terri et la traîna jusqu’à sa bite bien dure. Elle tenta de se dégager la tête d’un mouvement brusque, mais il lui tira les cheveux et la gifla.Terri savait qu’elle était capable de se défendre contre ce type. Mais elle savait aussi que si les flics revenaient et les trouvaient en train de se battre, il y aurait plus de rapports, plus de charges… plus de problèmes. Et pire que ça… Danielle découvrirait forcément qu’elle s’était battu et les raisons pour lesquelles elle s’était battue. Et elle avait bien précisé à Terry que quelque soit le moment ou les circonstances, sous aucun prétexte elle n’avait le droit de refuser d’accorder des faveurs sexuelles.Comme Terri entrouvrait ses lèvres et laissait l’inconnu lui glisser sa queue dans la bouche, elle dut amèrement reconnaître que Danielle avait encore réussi à la faire souffrir et à la violer d’une nouvelle façon. Elle essaya de lever la tête plusieurs fois, pour voir si les flics revenaient, ou simplement pour dire – « Ils vont être de retour dans une minute ! » mais Juan ne lui permit pas.« Continue jusqu’à ce que je crache ma purée, salope ! » insista Juan. Terri savait qu’elle aurait de sérieux ennuis si les flics revenaient et découvraient qu’elle taillait une pipe à un prisonnier. Elle arrêta donc toute résistance et le laissa lui baiser la bouche, ajoutant autant de mouvement de langue que possible et gémissant bruyamment malgré sa bouche remplie de bite. Quand la semence jaillit dans sa bouche et lui coula dans la gorge, elle était honteuse d’être plutôt mouillée. Cependant, ayant tiré son coup, Juan avait déjà remonté son pantalon et se désintéressa de Terri.Les deux policiers revinrent à ce moment. Terri gênée se contorsionna pour remettre son sein dans son bustier pendant qu’ils montaient dans la voiture. Heureusement, ils étaient trop dévoués à leur amour véritable –les donuts– pour faire attention à l’exposition massive de nichons sur la banquette arrière.« Là-dedans, » ordonna la femme policière, ouvrant la porte d’une cellule de détention. Une douzaine d’autres femmes était déjà cellule, principalement des prostituées. Bien forcée, Terri entra. Choisissant un banc contre le mur, elle s’assit.« Hey, c’est ma place, » grogna une voix. Elle appartenait à une grande amazone brune qui semblait mi-noire, mi-hispanique. Elle semblait aussi être “en charge” de la cellule. Tout le monde regardait volontairement ailleurs.« Désolée, » marmonna Terri. Elle se leva, et se dirigea vers un coin éloigné de la cellule et s’assit sur un autre banc.« Ça aussi c’est ma place, » la prévint l’amazone. Terri s’appuya contre le mur à la place. « C’est mon mur, lui signala-t-elle fatalement. Et il n’a pas besoin de ton cul en silicone pour tenir.— D’accord, mais alors où je suis censée– »Terri fut abruptement coupée. Avec une vitesse surprenante, l’amazone avait traversé la distance qui les séparait et délivra un résonnant SMACK sur le visage de la bimbo. Puis, d’une main elle attrapa Terri par le cou et la fracassa contre le mur.« TU n’es pas “censée” kaçak bahis faire QUOI QUE CE SOIT à moins que je TE DISE de le faire ! C’est MA maison ! Est-ce que les gens qui viennent dans TA maison font ce qu’ils veulent ? »Terri pensa aux conditions que lui imposait Danielle pour vivre chez elle, et elle ne put se retenir. Elle rit. Un rire amer et ironique.« MA MAISON… MES RÈGLES !!!! » hurla l’amazone en relâchant Terri qui s’écroula par terre.« HEY !!!!! Tu es ENCORE sur mon SIÈGE !!!! April, fais-la se relever. » April était une brune maigrichonne au visage ordinaire qui était resté debout de l’autre côté de la cellule pendant tout ce temps. Une fugueuse de 18 ans reconvertit en pute. Comme l’amazone, elle portait l’uniforme bleu de prisonnière du comté, et semblait être ici depuis un bout de temps. Et à en juger par la façon dont elle se dépêcha d’obéir, de s’agenouiller et de se presser contre Terri, on lui avait déjà montré qui était en charge de la cellule. Tout comme on le montrait en ce moment à la nouvelle arrivant.« Debout. Hey. Allez. Debout. » Elle ajouta en chuchotant : « T’as pas le choix. » Avec l’aide d’April, Terri se remit debout les jambes tremblantes, s’épaulant sur la jeune fille pour trouver un support.« VIRE tes mains d’elle, » ordonna l’amazone. « D’abord tu viens me prendre mes chaises, et maintenant tu penses que tu peux me prendre ma CHIENNE ? » maladroitement, se sentant soudainement prise de vertige, Terri lâcha April. Elle réussit à se tenir debout momentanément, puis sentit le sol tourner autour d’elle. Elle se rattrapa la fille tout en s’écroulant, les faisant toutes deux tomber sur le dur sol en pierre.« Qu’est-ce que tu FOUS avec ma CHIENNE ??— D-d-désolée… balbutia Terri.— DÉSOLÉE mon CUL !!! T’as intérêt à présenter tes excuses MAINTENANT ! »Terri marmonna une excuse à April.« Quel genre d’excuse de merde C’EST ? tonna l’amazone. Est-ce que tu vas accepter ces excuses de merde ? » demanda-t-elle à April. Celle-ci qui avait déjà commencé a sagement déboutonné son uniforme, secoua la tête NON. Terri avait toujours les mains et les genoux contre le sol quand la fugueuse se débarrassa de son uniforme. April s’allongea sur le dos et écarta les jambes pour Terri, elle geignit un peu quand son dos nu entra en contact avec le sol glacé.Terri s’agenouilla devant April, et baissa la tête jusqu’à l’entrejambe de la jeune fille, lui mettant sa culotte de côté et lui léchant délicatement son doux bouton d’amour. April roula la tête d’un côté puis de l’autre et se mit à gémir alors que la bimbo blonde trouvait rapidement ses marques. Léchant la fente d’April de bas en haut, envoyant des frissons électriques dans le corps chétif de la petite criminelle. Un des sens de Terri la prévint que sa propre jupe se faisait soulever, suivit par les doigts inquisiteurs de l’amazone dans son cul. Déterminée à ignorer son nouveau bourreau, elle continua à brouter April, comme elle l’avait pour des douzaines de femmes sous la supervision de sa maîtresse, Danielle.April se concentrait sur les sensations causées par la langue de Terri. Elle savait ce qui attendait la nouvelle venue, et elle voulait désespérément que la langue de la jeune femme la fasse jouir avant que cela n’arrive. En alternant des mouvements de ses fesses, et en tirant sur les cheveux de Terri pour la guider, April fut capable de diriger sa lécheuse de chatte aux bons endroits et en fut récompensée par un délicieux orgasme.L’amazone changea légèrement sa position derrière Terri. Sachant ce qui allait arriver, April agrippa les cheveux blonds de Terri et fourra sa tête contre sa chatte, étouffant les hurlements de Terri alors que l’amazone plongeait son poing tout entier dans le cul de la salope…

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