VU SUR LE NET: Dégradation d’un soumi

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Babes

VU SUR LE NET: Dégradation d’un soumiJ’étais de plus en plus attaché à Maîtresse Caroline. Ma femme me méprisait profondément; nous faisions désormais chambre à part et je pouvais aisément cacher les marques infligées par Maîtresse Caroline. Plusieurs semaines passèrent et ma soumission s’affirmait sans cesse. Un soir, rentrant à la maison, je vis trois couverts sur la table.- J’ai rencontré une amie de pensionnat et je l’ai invitée à dîner. Si ça ne te plait pas, tu peux aller grignoter un sandwich au bistrot du coin. Cela m’est complètement égal.Je décidai de rester et je lisais un magazine lorsque la sonnette vibra.- Va ouvrir, c’est ma copine…je suis encore occupée à la cuisine.Lorsque j’ouvris la porte, je crus que le ciel me tombait sur la tête. Maîtresse Caroline était en face de moi et me souriait. Je ne savais que faire : refermer la porte sur elle, m’enfuir au bistrot du coin lorsque j’entendis la voix de ma femme derrière moi.- A celle-là tu ne t’attendais pas, hein salaud. Caroline est la dernière personne que tu t’attendais à voir…et pourtant c’est bien elle. Entre Caroline et installe-toi. Quant à toi, je vais t’expliquer ce mystère. Un jour, il y a de cela quelques semaines, je reçus un coup de fil d’une dame inconnue bahis firmaları qui désirais me voir. Elle refusait de me dire pourquoi, mais m’assura que cela m’intéresserait. J’acceptai finalement son invitation à prendre le thé chez elle. D’emblée, elle me dit : “Je suis la Maîtresse de votre mari”. J’étais suffoquée de cette affirmation faite le plus naturellement du monde. “Entendons-nous bien, quand je dis la Maîtresse, je ne veux pas dire l’amante mais sa dominatrice. Les traces que vous avez découvert sur son corps, c’est moi qui les ai causées”. J’éclatai en sanglot; je savais que tu étais un salaud, mais pas que tu avais déjà depuis plusieurs mois une relation permanente. Je pleurais de peine, mais surtout de rage. Caroline me consola, me cajola et me caressa. Ses caresses provoquèrent une réaction que je n’avais jamais connue. Je répondis à ses caresses et nous nous retrouvâmes bientôt enlacées. Nos vêtements s’enlevèrent presque d’eux-mêmes et je me retrouvai nue dans les bras de Caroline. Elle me lécha sur tout le corps en excitant de ses doigts ma vulve. Je mouillais comme jamais je n’ai mouillé, même dans mes fantasmes les plus crus. Et Caroline me fit l’amour avec sa langue, avec ses seins, avec ses doigts jusqu’à kaçak iddaa provoquer un orgasme dévastateur. Je suis restée pantelante dans ses bras et nous avons recommencé. Et depuis, pendant que tu vas te faire fouetter par elle, elle me procure une jouissance extraordinaire.- Voilà, dit Maîtresse Caroline; désormais tu seras notre esclave à toutes deux. Le mardi sera tous les jours de la semaine. Tu iras à ton boulot, mais dès ton retour, tu seras le jouet soumis de ta femme Brigitte et de moi lorsque je serai là. Le vendredi soir, vous viendrez tous deux passer le week-end chez moi. Pour nous laisser du temps pour nous aimer, tu t’occuperas des deux ménages : nettoyage, vaisselle et tout ce que nous t’ordonnerons de faire. Tu seras bien entendu puni et plus sévèrement que tu l’as été jusqu’à présent si les choses ne se font pas à notre goût. J’ai enseigné à Brigitte l’art du fouet et je crois, non seulement qu’elle est devenue experte, mais qu’en plus elle adore cela, principalement sur toi. J’oubliais, tu auras remarqué, j’espère, que nous n’aimons pas les hommes. Donc, nous te féminiserons. Dès demain, tu viendras avec moi acheter de la lingerie et des vêtements féminins. Brigitte a pris rendez-vous pour toi chez une maquilleuse kaçak bahis qui t’apprendra l’art de te grimer en pute. Quand tu rentreras le soir, tu porteras tes vêtements féminins pour la soirée. Et le week-end tu seras féminisée en permanence, même si nous sortons. Après tout, il y a d’autres travestis… Brigitte m’avait proposé de te laisser vingt-quatre de réflexion….ça ou dehors, mais je te connais assez pour savoir que non seulement tu diras oui tout de suite, mais qu’en plus en vrai lopette, tu aimeras ça.En quelques flashs, j’imaginais ce que serait ma vie désormais. C’est vrai que je bandais en écoutant Maîtresse Caroline. Je n’eus du reste pas le temps de choisir car déjà Maîtresse Caroline me donna l’ordre de me déshabiller.- Je crois que je t’avais interdit de paraître devant moi sans être nu.Je m’exécutai, particulièrement honteux devant ma femme qui me regardait avec un sourire satisfait.- Tu vas voir, mon chéri, tu vas regretter la petite vie pépère que tu menais avec moi. Mes amies sauront que j’ai un esclave à ma disposition, que c’est une boniche gratuite et qui sait, d’autres maris suivront peut-être ton exemple. En attendant, je vais me faire la main en t’administrant vingt coups de fouets.Etre fouetté par sa femme a quelque chose de particulièrement humiliant, mais je n’avais plus le droit de réclamer. J’étais devenu la lope d’un couple de lesbienne composé de ma femme et de ma dominatrice.Qu’allait donner cette nouvelle vie?

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