une, puis deux

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Amateur

une, puis deuxCette histoire fait suite à “Julie, une proche un peu trop proche”.Haa Julie, ou comment un dérapage peut devenir très plaisant, régulier et… donner envie de dé****r encore plus loin. Au lendemain de cette fameuse nuit ou nous nous étions détournés de la raison et abandonnés à nos désirs, il faut dire que nous ne savions pas vraiment comment gérer la chose. Faire l’amour n’est pas un problème, baiser n’est pas un problème mais qu’étions- nous ? Nous ne regrettions absolument pas cet écart de conduite mais il nous fallait cependant nous fixer, savoir comment notre relation évoluerait. Après un temps de réflexion nous avons donc décidé que rien ne changerai. Aux yeux des autres et pour nous même nous resterions oncle et nièce et une fois seul, et seulement là, si l’envie nous prenait de dé****r à nouveau, libre à nous. Autant dire que nous dérapions donc régulièrement pour notre plus grand plaisir. Le temps passait, les fêtes de fins d’années approchaient, les réunions de famille augmentaient nous nous voyions beaucoup mais il devenait assez délicat de nous retrouver seuls et libre de nous adonner à notre plaisir secret et interdit. Il y a avait presque systématiquement un autre membre de la famille avec nous et nos moments isolés ne nous laissaient le temps que de quelques petites caresses qui plutôt que d’apaiser, avaient surtout pour résultat de nous échauffer pour nous laisser sur notre faim. Ne pouvant nous satisfaire correctement nous nous lancions alors dans un nouveau petit jeu. Nous ne pouvions réellement jouir l’un de l’autre librement mais nous pouvions stimuler une autre forme d’excitation, nous pouvions nous amuser à nous caresser au milieu de tous sans qu’ils ne s’en aperçoivent. Nous pouvions nous amuser et profiter de l’intense sensation que provoque la peur d’être pris. En voiture, dans le canapé pendant un film, tous les lieux et moments étaient exploités dès que la possibilité se présentait. Puis c’est présenté un moment où nous nous sommes retrouvés dans ce fameux canapé chez moi, Julie, une de ses cousines (Maëlle) et moi. Nous discutions de tout et de rien devant une émission peu attrayante. Bien entendu Julie et moi étions disposés de façon à ce que Maëlle ne puisse pas remarquer que j’avais une main sous la jupe de Julie et que cette dernière ne portait pas de culotte. A mon avis ce qui aidait le plus était la fine couverture que l’on utilisait étant donné la température pas très élevée. Je n’avais pas un accès correct à l’entre jambe de Julie je ne pouvais que me contenter de lui titiller le clitoris et de faire glisser mes doigts le long de sa vulve. En faire d’avantage aurait été bien trop visible. La discussion continuait mais plus ça allait plus Julie l’amenait à tourner autour du sexe. Maëlle n’était pas du tout réfractaire au sujet bien qu’elle semblait un peu gênée de parler sexe ouvertement devant moi. Je pouvais voir son teint clair rougir lorsque nous demandions son avis ou abordions ses préférences, elle participait à l’échange mais ne parlait qu’à demis mots et fixait la télé pour ne pas croiser nos regards. La sentant peut être un peu trop gênée j’essayais de clore le débat.-« Bon faudrait peut-être penser à te calmer Julie, tu mets ta cousine mal à l’aise regarde comme elle devient toute rouge on dirait une tomate. » -« Que dalle ! C’est une grande fille y a pas de quoi être gênée là en plus on est entre nous alors… » – « Ben en fait, c’est pas trop que je suis gênée. Dit Maëlle en coupant la parole à sa cousine. »-« Et ben c’est quoi alors ? » Parce que tonton à raison tu fais vraiment tomate là !- « Non mais, comment dire ? Enfin voilà quoi c’est un sujet assez sensible, vous en parlez comme si de rien était, vous insistez bien sur certains détails, c’est pas rien quoi… »-« C’est vrai qu’on a pris l’habitude de parler librement Julie et moi, au moins ça évite les faux semblants, les malentendus. Du coup on appelle un chat un chat même question sexe pour que quand je lui donnais des conseils on soit certains que la bonne information passe. »-« Ça me fait bizarre, j’ai pas trop l’habitude même avec mes copines ou mes petits copains on en a jamais vraiment parlé. Enfin pas du tout comme avec vous. C’est limite comme si vous êtes en train de raconter un rapport pour donner envie à quelqu’un d’autre… »-« Haaa mais en fait ça t’excite ma cochonne !!! » s’écria Julie toute amusée.-« illegal bahis euh… non… c’est pas ce que j’ai dit » reprit Maëlle les yeux écarquillés la peau rouge écarlate détournant le regard de nous au plus qu’elle pouvait.-« Oui c’est pas ce que t’as dit mais c’est ce qui se passe, t’inquiète moi aussi ça me fait pareil assez souvent. C’était délicat au début mais c’est bon y’a pas de mal à parler de choses plaisantes et comme on dit y’a pas de mal à se faire du bien hein !! » Ainsi avec une énorme assurance Julie rassurait sa cousine, j’écoutais en remuant ma main un peu plus activement entre les cuisses de Julie qui semblait apprécier. Ce n’était plus vraiment très discret mais comme Maëlle n’osait toujours pas trop regarder vers nous je m’y risquais un peu plus. Avoir ses deux jeunes femmes avec moi sur le canapé, les savoirs toutes deux excitées, ayant une main jouant avec l’intimité de l’une d’elle… Cela faisait beaucoup j’avais une érection plus que prononcée et qui me faisait presque souffrir tant elle était comprimée dans mes vêtements. Presque ? Non c’était douloureux il fallait que je la défasse de sa prison ce que je fis en toute discrétion enfin à priori. J’écoutais toujours ce que les filles se racontaient mais j’étais ailleurs je ne captais donc que quelques bribes de l’échange. Je comprenais bien que Julie expliquait à sa cousine comment elle s’était débarrassée de la gêne avec moi, comment maintenant elle en tirait même du plaisir, qu’après tout il n’y avait aucune honte à avoir que ce n’était qu’un échange de bons moments et les paroles de Maëlle me sortirent de mon état second :-« Donc tu veux me dire que tu te touches en parlant sexe avec tonton ? » Demanda-t-elle regardant vers nous. Ses yeux pétillaient, elle se mordait doucement la lèvre inférieure. Elle respirait la curiosité et son intérêt certain semblait avoir effacé tout problème qui aurait pu se présenter. Sans crainte ni gène elle se tenait là avide de détails. Nous fixant, attendant la réponse de Julie… (Nous fixant ? et ma main qui s’active sur la vulve de Julie ? et mon sexe sorti de mes vêtements ? la couverture ne suffira pas à tous cacher si elle nous fixe) Mes pensées fusaient dans tous les sens mais avant même que je ne puisse corriger quoique ce soit Julie répondit : -« Oui oui c’est ça. Et même mieux encore ! » Sans me prévenir ni même me consulter Julie retira la couverture de sur elle exposant ainsi ma main titillant sa vulve. Je m’arrêtais et allais retirer ma main mais elle posa la sienne par-dessus m’encourageant à continuer.-« Il me touche. C’est tellement plus agréable de partager ça ! » Et comme si cela ne suffisait pas comme démonstration elle se saisit de la couverture qu’elle envoya au sol exposant donc mon sexe en érection. Elle s’en empara et commença à le branler en ajoutant :-« Et je le touche aussi ! » Un grand sourire au visage elle me branlait délicatement guettant la réaction de Maëlle qui, les yeux grands ouverts contemplait la scène bouche bée. Moi au stade où nous en étions je ne voyais plus l’intérêt d’être discret et m’empressa de préciser mes caresses sur cette vulve que je désirais et que je ne pouvais qu’effleurer jusque-là. Je m’étais donc rapproché et mes doigts pénétraient Julie, qui respirait plus fort et qui me facilitait l’accès à son intimité écartant les cuisses s’exposant d’avantage au regard de Maëlle. Maëlle qui finit par vocaliser :-« Ah ouais !! Ha quand même !! Ah ouais !! Moi qui me trouvais tordue parce que je pense trop souvent au sexe et que ça m’excitait d’en parler avec vous… Ben là !! Ah ouais !! » Je ne saurais dire ce qui lui passait exactement par la tête mais une chose me semblait sûre. Elle n’était pas choquée, surprise certes mais pas choquée. Sans prévenir Julie se dégagea, se rapprocha de Maëlle, lui posa un baiser sur les lèvres avant de se lever et, le plus naturellement du monde, de se débarrasser de son haut, de son soutien-gorge pour revenir sur le canapé seins nus, cette fois ci de l’autre côté de moi me plaçant ainsi entre elles deux. Je laissais les choses se dérouler et profitais bien de la situation, plus que jamais Julie semblait sûre d’elle et il faut dire qu’elle gérait la situation bien mieux que je n’aurais pu le faire. Bien mieux que je n’aurais pu imaginer. Une fois bien installée à l’autre côté de moi elle se saisit de mon sexe à nouveau, recommença à le branler, posa illegal bahis siteleri quelques baisers sur mon gland puis s’adressa à Maëlle :-« Approches un peu ! Ne restes pas dans ton coin ! Nous ça fait déjà un petit moment qu’on arrive pas à se retrouver seuls pour profiter de nos jeux habituels, je suppose que toi aussi vu qu’on est tous les uns sur les autres en ce moment. » -« Euh… je sais pas. » Répondit Maëlle en se rapprochant. En se rapprochant suffisamment près pour que, si l’envie lui prenait, elle n’aurait plus eu qu’à se pencher pour prendre mon sexe en bouche.-« Aller ! Mets-toi à l’aise et profites du moment on ne racontera rien à personne. T’inquiètes.» Dit Julie avant de se lancer dans une de ces divines fellations qu’elle avait pour habitude de me prodiguer. J’étais en extase ma main jouant avec la généreuse poitrine de Julie pendant que mon sexe se faisait happer par sa bouche experte. J’en avais presqu’oublié la présence de Maëlle, qui, sans que je ne m’en aperçoive, avait commencé à se caresser la poitrine au travers de son haut et tout aussi discrètement, avait déjà défait les boutons de son jeans. Captant mon regard insistant sur ce qu’elle faisait elle s’immobilisa un moment comme ne sachant pas s’il fallait continuer ou se sauver. Je lui fis un grand sourire posa ma main droite sur sa cuisse la caressant tendrement, de ma main gauche j’interrompis Julie pour qu’elle se rapproche de Maëlle, qu’elle la rassure. Julie se redressa, vint s’assoir sur moi mon sexe se retrouvait contre sa vulve, puis pencha vers Maëlle pour l’embrasser à pleine bouche. Non seulement de se laisser faire elle lui retournait le baisé, moi ayant les seins de Julie tout près j’en titillais les pointes avec ma langue, me lèvres, mes dents. Ma main droite toujours sur la cuisse de Maëlle se faisait maintenant entreprenante remontant vers son entrecuisse caressant au travers du vêtement son intimité qui irradiait de chaleur. Maëlle se leva en sursaut :-« Attends, attends !! » suivi d’un léger temps de pause avant d’enchainer : -« Bon ok ce sera plus facile comme ça ! » Pour se débarrasser de ses vêtements à la hâte comme si sa vie en dépendait. Une fois nue elle revint à sa place, Julie la guida pour qu’elle se couche sur le dos lui fit ouvrir les cuisses, lui caressa légèrement la vulve et se dégagea de moi pour me laisser la route libre vers la vulve offerte de Maëlle. Je m’empressais alors d’aller à la rencontre de cette magnifique vulve totalement dépourvue de poils, luisante de désir, irradiant une douce chaleur et une odeur enivrante. Je plongeais ma langue dans ce fruit pour m’en délecter, la laissant se promener dans cette chaire gouteuse, juteuse, avant de rencontrer ce petit bouton rose gonflé et sensible à en croire la réaction de Maëlle. Julie, elle, était genoux au sol penchée sur Maëlle, tantôt l’embrassant à pleine bouche, tantôt lui mangeant la poitrine. Devant tant d’ardeur une idée me traversa. Jusqu’à quel point iront elles ensemble ? Je me levais donc, ce qui provoqua un regard investigateur de Maëlle qui semblait ne pas vouloir que je quitte son entrecuisse. Je vins me pencher sur son visage et l’embrassa. Nos langues se rencontrèrent, nos bouches mordillaient nos lèvres. Puis quittant ses lèvres je la fis se redresser, à moitié assise dirons-nous, les jambes bien écartées, les fesses débordants du canapé et surtout, la vulve à portée de Julie. Julie qui semblait hésitante pour la première fois de notre petit moment coquin me fixait, l’air de demander où je voulais en venir. Je m’agenouillais donc près d’elle posant un baisé sur ses lèvres, puis un sur la cuisse de Maëlle, puis un autre sur ses lèvres, et à nouveau sur la cuisse de Maëlle mais en me rapprochant de son bassin. Julie m’imita, remontant l’intérieur des cuisses de Maëlle baisé après baisé. Arrivée à destination, elle dégustait donc le sexe de sa cousine, qui, en même temps se malaxait les seins, en en pinçant les pointes de temps à autres, gémissant, lâchant de petits cris si doux à entendre. Quel magnifique spectacle ! Ce n’était pas là un, mais deux fruits défendus qui m’étaient offerts et interagissaient plus que je ne pouvais le souhaiter. Un frisson de plaisir me parcouru à cette vision. Mais trêve d’observation, j’allais me placer derrière Julie entreprenant de lui dévorer l’entrecuisse aussi, après tout il ne fallait pas de jalouse. canlı bahis siteleri Etant sur ses genoux le fesses relevées, en plus de pouvoir lui déguster la vulve j’avais un accès privilégié à son œillet que je prenais plaisir à fouiller avec ma langue, avec mes doigts. Puis me redressant, je vins me placer bien contre elle, mon gland pressant sur sa vulve, je le faisais glisser contre elle tout du long. Allant titiller son clitoris, son œillet à tours de rôles, venant le placer à l’entrée de sa vulve mais sans la pénétrer juste pour le plaisir de la titiller. Je répétais ainsi mon manège quelques fois, me trouvant, une fois de plus à l’entrée, paré à m’échapper de nouveau quand elle prit l’initiative de reculer ne me laissant d’autre choix que de la pénétrer, pour mon plus grand plaisir il faut le dire. Je commençais donc mes va-et-vient sur un rythme régulier, ni trop lentement ni trop vite, ni trop brutalement ni trop délicatement. Mes mains tenaient tantôt ses hanches comme pour pas qu’elle ne s’échappe, tantôt se promenaient sur ses fesses, dans son dos, allant jusque ses épaules, sa nuque. Cherchant plus loin du regard je pouvais contempler Maëlle qui recevait beaucoup de plaisir de la bouche et des doigts de sa cousine. Elle regardait vers moi me souriant largement, leurs gémissements se croisaient, leurs respirations haletaient, et, Maëlle prit la parole :-« Moi aussi… moi aussi je veux goûter ton pénis ! » Annonça-t-elle d’un air vacillant entre timidité et envie folle. Julie se redressa, se dégageant de mon sexe dans le mouvement et tout en se dressant sur ses genoux tira Maëlle vers elle l’embrassa a pleine bouche pour finir par me dire :-« ben alors tu viens ? On fait pas attendre des demoiselles voyons !!! » Sur un ton joueur accompagné d’un petit rire malicieux.Je ne me fis pas plus prier, m’empressant de me lever et de venir placer mon sexe à portée de leurs deux bouches. Quelle vision magique que de voir deux magnifiques jeunes femmes, mêler leurs langues, leurs bouches de part et d’autre de mon sexe de les voir le sucer à tours de rôles. De voir pendant qu’elles se partagent mon sexe, leurs seins se toucher, se caresser les uns les autres, leurs mains se balader sur le corps de l’une, de l’autre, sur moi. Ces deux bouches sublimes me donnant du plaisir. Ces deux ravissantes demoiselles, mes nièces, dont une qui comme l’autre n’allait pas tarder à m’accueillir en elle. Maëlle repris place dans le canapé sur son dos les jambes ouvertes, la vulve offerte se caressant délicatement le clitoris comme m’indiquant le chemin à suivre :-« Là aussi je veux ton pénis ! » Avec ce regard coquin collé sur le visage.Je m’approchais avidement prêt à satisfaire la demande de la demoiselle aidant avant tout Julie à grimper sur le canapé… ET mon téléphone poser à l’autre bout du canapé se mit à sonner. Le numéro de ma sœur (la mère de Maëlle) apparaissant à l’écran. Je saisissais l’appareil criant :-« Merde l’heure on n’a pas contrôlé ! » avant de décrocher et d’entendre à l’autre bout du fil :-« Ben alors ? Qu’est ce qu’il se passe vous deviez être là il y a une demie heure ! C’est pas dans tes habitudes d’être en retard sans prévenir je m’inquiète là ! Il se passe quoi ? »Gueula t’elle le ton inquiet en prenant à peine le temps de respirer.-« hein ? Quoi ? Il est quelle heure ? Ha euh oui désolé ! Ben on est encore chez moi. On paressait dans le canapé y’avait un documentaire assommant j’ai pas résisté je me suis endormi. Les filles n’ont pas dus faire attention à l’heure ! »-« Ah ben ok ! T’es chiant quand même ! On vous attend ! »-« ouais, ouais je sais ! Bon je prends une douche et on arrive. A tout de suite! » La mort dans l’âme je raccrochais regardant Maëlle et Julie déception sur le visage me lancer un « oh non ! » en cœur. Hélas il ne fallait forcer notre chance il nous fallait faire au plus vite et retrouver les autres pour ne pas éveiller de soupçons. Nous nous sommes donc hâter pour prendre la route, enfin le peu de route qui nous séparait du reste de la famille. Au moment de descendre de voiture pour rejoindre les autres, contre toute attente Maëlle nous lança :-« Ben y’a pas moyen mais faut qu’on se débrouille pour se retrouver pareil au plus vite hein ! »Julie et moi arborions alors un très large sourire.-« Oui ne t’inquiète pas, on va provoquer les occasions. Mais entre temps n’oublies pas. Pas un mot ! » Lui dis-je.Sans plus dire mots nous avons quitté la voiture, sans plus dire mots nous nous sommes souri. Sans plus de mots nous savions qu’il n’était plus question de savoir est ce que cela allait arriver mais plutôt quand est-ce que cela arriverait…

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