Je désire mon fils

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Babes

Je désire mon filsJe suis une femme de 46a. Je vis seule avec mon fils de 19a depuis mon divorce.Son père médecin nous verse une pension confortable ce qui me permet de bien vivre avec seulement un emploi d’aide soignante à mi-temps dans une maison de retraite.Mon fils prépare un BTS de construction aéronautique.Je suis d’ un tempérament plutot renfermée sur moi même.Je ne sort pas ,je ne voisine pas. Avec mon métier je ne cotoie que des personnes plus agées que moi.Et pourtant j’ai des envies …Je suis plus particulièrement attirée par les hommes trés jeunes. J’ai des tendances au voyeurisme bien que ce soit habituellement réservé aux hommes.Dans mon métier j’ai l’occasion de voir des hommes en érection .J’oublie que ce sont de vielles personnes pour ne voir que leur sexe drésisé . Je n’y touche pas plus qu’il ne faut mais je me régale les yeux et je me retrouve avec la culotte trempée.A la maison je ne manque pas une occasion de regarder mon fils dans des situations ‘interressantes’C’est un grand garçon bien proportionné avec toujours un air réveur un peu enigmatique.Jai eu souvantl’occasion de voir son sexe qui n’est pas gros mais particulièrement long.Je pense que lui aussi m’observe,et cela me met dans tous mes états Je ne suis pas belle de visage mais je crois avoir ‘un corps de jeune fille’ avec des seins et des fesses fermesDepuis longtemps je suis attirée par lui mais je n’ose pas faire le premier pasQuand j’arrive à la maison exitée ,je vais en son absence dans sa chambre et je regarde les nombreuses photos de lui dont certaines ou il est en slip .On remarque bien la bosse de son sexe qui remonte des fois j’usqu’a la ceinture.Mon imagination vagabonde et mon exitation augmente.Alors je m’assoie sur le rebord de son fauteuil , je remonte ma jupe, j’écarte ma culotteet je carresse ma vulve . D’abord en surface , puis mon doigt s’insinue entre mes poils abondantsJe parcour le chemain de mon anus à mon ventre avec délice .Un bruit de chairs mouillées résonne à mes oreilles. Je soupire de joie . Mon doigt s’enfonce maintenant entre mes lèvres .Mon geste s’accélère . Ma main gauche triture la pointe de mes seins durs comme de la pierre.J’ai le souffle qui s’accélère , mon coeur bat à tout rompre. Mon majeur touche mon clitoris drésisé comme un pénis .Une décharge électrique me foudroie, mon ventre se tord dans tous les sens. Et je HURLE mon plaisir’Jean je t’aime,…..mon fils je t’aime….’Un liquide abondant coule le long de ma cuisse jusque dans mes chaussures . Je retombe sur la chaise épuisée les sens apaisés , mais pour combien de temps?Le samedi dans la nuit il rentre de boite avec une copine .Ma chambre est voisine de la sienne.Je suis sensée prendre un somnifère pour dormir alors il ne prend aucune précaution pour le bruit de leurs ébats . Moi au contraire je ne prends rien ces soirs là et je profite du spectacle.D’autant plus dans le fond d’un placard de ma chambre il ya une fente qui me permet de voir parfaitement dans la sienne.Ce samedi la fille est une petite brune à la peau trés blanche .Elle parait trés amoureuse et elle se pend au cou de mon fils en l’embrassant à pleine bouche.Ses grosses lèvres le ventousent carrement.Lui ne perd pas de temps et je voir vite jaillir 2 seins blancs superbes qui me rendent jalouse.Elle s’active elle aussi à le désabiller . En se baissant pour enlever sa culotte elle me montre la salopeson cul magnifique sa raie et son abricot fenduJean ne la laisse pas se relever ilse precipite pour lui lécher la moule par derrière . J’entent les bruits de sucion,les gémissements de la fille et ça me rend folle.Pendant ce temps je me masturbe avec fureur et mes gemissements se mèlent aux cris de la garce.Jean la fait assoir sur le bord du lit et lui enfonce sa longue queue dans la bouche. Ce visage si juvenile transpercé par le membre de mon fils est d’une intensité érotique incroyable.Elle le pompe avec bonne volontée et malgré sa maladresse bientot mon fils se cabre en soupirantet donne un violent coup de rein qui propulse sa verge au fond de la gorge.Il joui en de longs soubressauts . La brune manque vomir et dégorge un flot de sperme qui coule en longues trainées de son menton sur ses seins et ses cuisses.La conne! si j’avais été à sa place j’aurrai tout avalé sans laisser une goutte.Que mon fils est beau aprés avoir joui ses muscles mouillés de sueur brillent sous l’éclairageSon sexe encore en demi érection est attendrissant comme un enfant qui regrette d’avoir fait une bétiseQue j’aimerai le caliner!Epuisée je me suis couchée sans dormir et je les ai entendu faire l’amour tout le reste de la nuit.Je dois absolument trouver une solution pour me trouver à la place de cette filleJ’ai commencé par le plus facile à suivre : Faire en sorte que mon fils voit le souvent possible mon corps. J’ai donc changé mes habitudes :Je laisse toujours les portes de ma chambre et de la salle de bain entrouvertes.Je dors avec une chemise de nuit bien plus courte et sans culotte.Je ne porte plus de soutien-gorge sous mes corsages . J’ai d’ailleurs constaté que le frottement de l’étoffe sur la pointe de mes seins me fait de l’effet, au point que je dois, quelquefois me soulager par une rapide masturbation, debout les jambes écartées, penchée en avant, ma main gauche appuyée contre le mur, ma main droite s’activant sous ma jupe. Comme mon bourgeon est déjà en alerte, je jouis très vite en gémissant et, bien des fois, je me suis écroulée sur le sol vaincue par l’orgasme.Dès que mon fils rentre à la maison, je retire ma culotte, pas toujours discrètement.Je déploies ensuite des trésors d’ ingéniosité pour lui montrer mes fesses sans en avoir l’air.J’ai vite constaté un changement dans l’attitude de Jean.Son regard notamment, une lueur dans son oeil surtout.Il a perdu son air rêveur pour devenir plus attentif.Et puis il a complètement arrêté de parler de sexe comme il le faisait auparavant, en plaisantant grassement sur ses copines.Il s’écarte, gêné, quand il est assis à côté de moi et qu’il me touche par inadvertance alors qu’en temps normal il est à la fois à l’aise et indifférent.Le pauvre chéri me fait fondre et j’ai envie de le prendre bahis firmaları dans mes bras et le couvrir de baiser.A plusieurs reprises, bien qu’il fasse tout pour la cacher, je remarque qu’une bosse bien caractéristique déforme son pantalonQuelques fois il file précipitamment dans sa chambre, sans un mot, pour ressortir, quelques instants plus tardle visage rouge mais apaisé.Manifestement, je fais de l’effet à mon fils.J’aimerai profiter de la situation, mais je n’arrive pas à me décider sur la façon d’agir. Mon désir, aussi puissant soit il, est bloqué par je ne sais quelle convenance, et quand l’occasion est passée, je le regrette amèrement.Et puis la nuit dernière…. Je vous ai déjà dit que je prends des somnifères pour dormir.Comme Jean ne ramenait plus de filles à la maison, je n’ai pas arrêté mon traitement. Je l’ai au contraire forcé un peu, pour calmer ma tension.Un matin je me réveille avec une impression bizarre, une sensation curieuse entre les cuisses.J’y porte ma main : je suis trempée. Ma vulve dégouline et mes poils sont tout poisseux.Je me redresse brusquement, sans comprendre et j’inspecte le drap.Ce que j’y découvre me remplit d’effroi et de joie mêlés.A côté de mon jus qui avait coulé abondamment, il y a des traces bien caractéristiques : DU SPERMEIl a beau avoir été essuyé , la giclée avait dut être si forte que les restes sont bien visibles.Ce sperme ne peut venir que de mon fils … Ma tête est prête à exploser.Que s’est il passé exactement ?Quelle doit être ma réaction ?Jean va -t-il assumer ?Tout se bouscule dans mon esprit et je manque fondre en larmes.Si prête du but que je me suis fixé, j’angoisse. Que vais je faire ?Nous sommes dimanche et Jean est sûrement dans sa chambre. Je suis paralysée.Je décide d’aller me laver dans le bidet. Je reste longtemps à me rincer tout en réfléchissant. C’est décidé, il faut absolument que je parle à mon filsJ’enfile une robe de chambre et me dirige vers la porte de sa chambre.Je frappe … pas de réponse. Je recommence … toujours rien.J’ouvre la porte, inquiète, et je trouve Jean, assis sur le lit, vêtu de son boxer, prostré et le regard vide.- ? Jean ! … Jean mon chéri, que se passe t il ? ?Mon fils me regarde et ses yeux se mouillent.-? oh maman j’ai trop honte ?-? mais non mon chéri ?-? maman je t’ai touchée pendant que tu dormais, tu étais trop belle sur ton lit, la chemise relevée, les cuisses écartées. Je t’ai touchée avec ma main. Tu mouillais dans ton sommeil. J’ai enfoncé mon doigt dans ta fente, tu t’es mise à gémir, j’ai continué ?Il parle vite, sans s’arrêter et moi je l’écoute, tétanisée.- ? je t’ai touché avec ma langue aussi, j’ai bu ton jus, j’ai léché ton bouton. Tu gémissais de plus en plus fort, tu remuais la tête, comme pour dire non. Et puis tu t’es cabrée en donnant de grands coups de reins. J’avais le visage écrasé sur tes poils mouillés, je ne pouvais plus respirer. Pour finir, tu as poussé un cri de bête blessée et tu n’as plus bougée. Mon excitation était à son comble. J’ai baissé mon boxer pour libérer mon sexe et… J’AI VOULU TE BAISER MAMAN !! Pardon maman ! Oh pardon ! Heureusement mon envie était trop forte et j’ai déchargé sur le lit avant de pouvoir te pénétrer.?Il bredouille, des sanglots dans la voix.- ? je t’ai souillée, maman! Jamais je ne me le pardonnerai ?Je m’assois sur le lit et je le serre avec tendresse dans mes bras .Je suis toute molle car son récit a éveillé mes sens.- ?Jean, moi je te pardonne d’autant plus que je suis la seule responsable. ?- ?Comment ça ? ?- ?Je te désire depuis longtemps mon fils et ces derniers temps j’ai tout fait pour t’aguicher. ?Il me regarde avec des yeux ronds et je le sens se détendre .Alors j’attire son visage et je l’embrasse à pleine bouche . Ma langue cherche la sienne.Le baiser dure… dure… passionné.Sa main passe sous ma robe de chambre et s’empare de ma poitrine avec détermination.Je lui caresse moi aussi la poitrine. Ses muscles sont fermes, sa peau douce. Je suis aux anges. Mon entre-jambe est trempé et attend sa main .Elle est bien trop occupée par mes seins qui durcissent sous la caresse.La mienne, en revanche, est trop impatiente. Elle descend, rencontre la ceinture du boxer, descend encore et touche l’objet de mes désirs. Nos bouches se quittent :- ?Oh maman, je t’aime. ??Mon fils chéri. ?Tout va très vite. A deux mains, je tire son slip vers le bas. Son sexe se dresse triomphant.Je ne l’ai jamais vu d’aussi près mais je ne m’attarde pas.J’écarte les pans de ma robe de chambre et je m’allonge sur le lit, entraînant Jean sur moi.Sa poitrine s’écrase sur mes seins, je le serre de toutes mes forces.Je lui mitraille le visage de mille baisers. Il me sourit.Je sens son sexe impatient sur mon ventre, je desserre mon étreinte, j’écarte les cuisses et j’insinue ma main entre nos deux corps.Je prends son pénis à pleine main et l’introduit entre mes lèvres. Il entre en moi doucement et nous poussons ensemble un long soupir. Jean ne bouge pas, il ferme les yeux, savourant ce plaisir.Il me remplit ! Une joie immense m’envahit.JE FAIS L’AMOUR AVEC MON FILS !Je resserre les muscles de mon vagin sur ce membre qui commence à bouger. Mes mains se crispent sur ses fesses pour lui donner le rythme.Un sublime va et vient commence. Le sexe de mon fils coulisse avec force et douceur dans mes chairs lubrifiées.Jean halète, son plaisir ne va pas tarder. Tant pis si je ne jouis pas, pourvu qu’il soit heureux.Mais Jean résiste, ses coups de reins s’accélèrent. La chaleur enfle dans mon ventre.Et le plaisir commence à monter dans mes entrailles. Je cris maintenant à chaque coup de boutoir.Mon fils grogne, il accélère encore… et soudain il se fige… planté au plus profond de moi.Il jouit en poussant un cri bref et lâche sa semence avec des secousses terribles.Les jets de sperme me foudroient … Je hurle de joie en secouant la tête.J’entoure les fesses de Jean avec mes jambes et je serre fort. Je le garde en moi de longues minutes en lui disant que je l’aimePuis je le libère. Il se redresse me laissant sur le lit les jambes écartéesJe sens sa semence s’écouler de ma vulve.Il me regarde … Et ce que je lis dans ses yeux kaçak iddaa me fait comprendre que ceci aura une suite.Une suite au delà de toutes mes espérances.Malgré ses quatre ans de plus, ma soeur Chantal est plus belle que moi .Son visage, avec ses légères cernes sous les yeux et ses lèvres épaisses, dégage une sensualité qui attire le regard , alors que le mien est plutôt quelconque.Par contre j’ai un corps de jeune fille avec mes seins de taille moyenne mais fermes, mes fesses rondes comme celles des africaines et mes jambes longues et musclées .Les grandes lèvres de ma vulve, cachées par une abondante toison, sont très foncées, comme maquillées. L’intérieur est d’un rose tendre.Chantal, elle, a une poitrine lourde qu’elle montre volontiers dans des décolletés avantageux. Ses hanches sont larges, confortables. Ses fesses provocantes ne laissent pas indifférent et ses cuisses potelées sont marquées d’une fossette prés du genoux .Bref elle a un corps ? qui attire le mâle ?Elle ne s’en prive pas d’ailleurs et collectionne les amants. Elle en change dés qu’elle pense en avoir trouvé un plus performant que le précédent.Nous sommes très différentes mais nous avons en commun, un petit secret :Quand j’avais 9 ans nous couchions dans la même chambre.Souvent, je l’entendais soupirer et gémir en même temps qu’elle faisait bouger les draps avec ses bras et ses jambes.A force de la questionner elle a fini par me montrer de quelle façon elle se masturbait.J’ai très bien apprise et retenue la leçon et notre grand plaisir pendant plus d’un an fut de nous toucher, l’une en face de l’autre, les yeux dans les yeux. Nous observions, dans le regard de l’autre, la montée de la jouissance.Et puis tout s’est arrêté quand j’ai eu ma propre chambre et nous n’en avons pas reparlé.Aujourd’hui elle est mon invitée. Mon fils est en stage dans une usine et nous sommes seules pour fêter les cinquante ans qu’elle a eu il y a un mois .Après un repas bien arrosé, nous avons parlé de ses amants. Elle est intarissable sur ses exploits et la conversation devient de plus en plus chaude.Nous en venons à évoquer nos souvenir 😕 Tu te souviens, Louise, de nos masturbations communes ? ?? Oh oui ! Il m’arrive parfois de me toucher comme tu m’as appris ?? La méthode était bonne…rien que d’y penser je mouille ma culotte ?? Je l’ai un peu améliorée….regarde ! ?Je ne me reconnais plus. Est-ce l’alcool ? Chantal avec son regard de braise ?Je relève ma jupe et descends ma culotte. Ma soeur peut apercevoir mon abricot et ma raie couverts de poilsElle écarquille les yeux 😕 Eh ben ma cochonne… si je m’attendais !…. ?J’écarte mes jambes. L’idée du spectacle que je donne me fait frémir. Ma main se pose sur mes poils. Je me caresse doucement en un long mouvement de mon ventre à mon anus. L’autre main vient la rejoindre. Elles écartent la toison frottent les lèvres. Un doigt pénètre mon vagin. J’accélère en soupirant.Chantal, d’abord figée de surprise, commence à se caresser les seins. Mon mouvement est maintenant vigoureux. Ma soeur se lève d’un bond. En 15 secondes elle s’est débarrassée de sa jupe et de sa culotte qu’elle a envoyés voler dans la pièce. Elle se rassoit les jambes largement ouvertes.Sa vulve est énorme ! Je n’ai jamais rien vu de tel.Des lèvres qui pendent, un clitoris proéminent, un vagin béant laissant voir l’intérieur des chairs, d’un rouge vif.L’ensemble est d’une impudeur vulgaire. Chantal s’astique furieusement? Louise attends moi ! Je t’en supplie, ne viens pas encore ! ?Comme dans le temps, nous sommes face à face, les yeux dans les yeux.Des clapotis obscènes rythment notre fureur. Ma soeur râle d’une voie rauque, je crie sans retenue la montée de mon plaisirUn concert lubrique monte, enfle, annonce l’orgasme.? MAINTENANT !? Nous hurlons ensembles ce signal convenu.J’écrase mon clitoris. Je suis prise de soubresauts ; une fulgurance me transperce le ventreJe ne vois plus Chantal ; son cri de bête blessée à mort me perce les oreillesEt je m’évanouis….Je me réveille dans ses bras. Nous sommes couchées sur mon lit.Elle me caresse doucement la poitrine, me couvre les joues et la bouche de petits baisers? Tu as aimé ma chérie ? ?? Oh oui ! Mais que fais tu …? ?Je sens sa chatte trempée contre ma cuisse ; ses seins s’écrasent contre mon bras. Elle ne répond pas, sa main descend sur mon ventre.Je ne réagis pas, j’écarte les cuisses, offerte ; elle s’empare de ma vulve, ne bouge plus, attend…Je répond à ses attentes : je me cabre et viens au devant de sa main qui entre de suite en action. Deux doigts me pénètrent profondément.Je pousse un cri bref et je lui écrase la bouche par un baiser pénétrant. Un élan inconnu me pousse vers elle, mon coeur bat à tout rompre. Nos langues se mêlent avec passion. Je me dégage de son étreinte et la pousse à s’allonger. Je la chevauche à l’envers lui présentant mes fesses et j’enfonce mon visage entre ses grosses cuisses blanches.Sa surprise de me voir prendre l’initiative ne dure pas. Des deux mains elle m’agrippe les hanches et colle sa bouche sur ma vulve. Son nez me pénètre et sa langue s’active sur mon bouton.La moitié de mon visage est englouti par son ouverture. Je me redresse légèrement pour respirer et j’att**** son clitoris. La succion que j’y applique ressemble à une fellation, tant son bouton est gros. Nous nous noyons dans nos jus, nos gémissements se transforment en d’infâmes gargouillis.Je l’aspire, la mordille, la lèche ; et cette fois, c’est elle qui rend les armes la première.Elle lâche mes fesses pour hurler sa jouissance en m’écrasant le nez entre ses cuisses, puis retombe sur le lit tel une masse de chair molle et apaisée. C’est debout, devant ma soeur exsangue, que je me finis furieusement. De sa chatte obscènement offerte, s’écoule un liquide abondant.Une heure après, rhabillées, nous papotons et bavassons en copines. A un moment, elle aborde un sujet qui me touche au plus profond de mon être .? Tu sais que Françoise a couché avec son gendre ? ?? Et tu en penses quoi ? c’est presque de l’i****te… ?? Tu sais il est largement majeur. C’est surtout pour sa fille que ça me choque, la pauvre. Il n’y a qu’elle qui ne le sait pas. kaçak bahis ?? Ah bon…Et si tu avais un grand fils toi, tu crois que tu pourrais le désirer ? ?Chantal me regarde avec des yeux ronds et un air malicieux 😕 Mon fils je ne sais pas, mais le tien… il n’aurait qu’un geste à faire…?? …. ?Elle me regarde d’un air soupçonneux, s’étonnant de mon manque de réaction.? Ne me dis pas que tu l’as fais ! Toi ! Ma soeur refoulée ! Tu ne l’as pas fait ??… ?A voir ma tête, elle éclate de rire? Remarque, avec ce qui vient de se passer entre nous, je ne devrai plus m’étonner de rien. ?? Chantal , tu ne peux pas savoir comme je suis heureuse. Je l’aime comme un homme et lui me désire comme une femme ?? Ecoute ma Chérie, c’est la meilleure nouvelle de l’année. Venez tous les deux chez moi dimanche, nous allons fêter ça. ??Vendredi soir, Jean est revenu de son stage. Nous faisons de longues séances au lit mais ce que j’aime par dessus tout, c’est quand il me surprend dans la cuisine.Il se colle contre mon dos et je sens son sexe durcir contre mes fesses. Ses mains emprisonnent mes seins, les malaxent. Je pousse mon postérieur vers l’arrière pour augmenter le contact ; il remonte ma jupe ; j’ouvre les cuisses et lui présente mon abricot ; il écarte ma culotte sans l’enlever ; je me baisse et m’appuie sur l’évier. J’attends la pénétration, tremblante, offerte.Elle tarde toujours trop à mon goût…Je sens enfin son gland contre mes lèvres. Impatiente, je l’aspire en reculant. Ses mains se crispent sur mes hanches, il se retire légèrement comme pour prendre son élan et il me pilone avec un rythme d’enfer.Mes seins se balancent, frottent sur le bord du plan de travail. Son ventre claque bruyamment contre mes fesses.Je suis obligée de me cramponner au mitigeur tant les secousses sont rudes.? oui mon fils vas y …baise moi, vas y …plus vite ! ?Il accélère encore. ? Maman c’est bon ! je vais te remplir, je jouiiis ! ?.? Viens mon Chéri …donne moi tout !! ?Il se vide en de longs jets. Je sens cette chaude liqueur m’inonder. Je jouis à mon tour.Jean s’écroule sur moi. J’ai mal aux côtes, je gémis mais il reste fiché en moi. Mon vagin se contracte pour retenir son sperme. Après un tel exercice, mon repas ne sera pas très élaboré. Nous le prendrons rapidement et nous nous préparerons pour une longue nuit …?C’est dimanche et nous sommes invités chez Chantal.Elle nous accueille, resplendissante, avec un large sourire. Elle est vêtue d’une robe largement décolletée, boutonnée sur le devant. Ses formes tendent le tissu et la chair apparaît entre les boutons.Elle sait que son corps attire le mâle et mon fils n’échappe pas à la règle. Il ne la quitte pas des yeux.Elle nous installe sur le canapé et s’assoit en face de nous. Un premier bouton se défait, dévoilant ses cuisses .? Alors mes Chéris, vous avez bien dormi ? ?? …………. ?? Enfin quand je dis : dormir !……. ?Nous ne répondons toujours pas. Jean me regarde d’un air interrogateur. Chantal se lève pour aller chercher du thé.? Tu sais mon Chéri elle est au courant et cela ne la choque pas ?.Ma soeur revient et nous sert.? Je suis même jalouse, j’aimerai tant être à sa place… Et toi ? Que penses-tu de ta tante ? ?Jean a du mal à soutenir son regard, il bredouille 😕 Je heu…. te trouve très sexy… ?? Tu veux dire bandante… ? ?Elle se lève, s’assoit à coté de lui. De son bras droit, elle le prend par le cou et pose sa main gauche sur sa braguette.Il me jette un regard affolé. Je suis sans réaction, tétanisée !La main de Chantal s’active. Elle défait la ceinture et tire la tête de son neveu sur sa poitrine.? Louise, aide moi ! On ne va pas laisser ce petit comme ça ! ?Prise par l’intensité érotique de la situation, je laisse parler ma lubricité. Je me lève et tire sur le pantalon et le slip. Le sexe de mon fils apparaît, à demi bandé, fragile sous notre regard de femelles avides.Ma soeur est la plus rapide, elle le prend goulûment dans sa bouche et le pompe à grand bruit.Je me mets à genoux sur le coussin et je l’embrasse à pleine bouche tout en achevant de le déshabiller .Mon excitation est extrême. Pendant que nos langues luttent, ma main soulève ma jupe et passe sous ma culotte. Jean se dégage de ma bouche pour respirer. Je regarde sa longue verge coulisser entre les lèvres voraces de sa tante. Par moment elle l’avale entièrement, le visage écrasé sur le pubis. ? Arrête Tatie, je veux te baiser ! ?? Oh ! oui Chantal ! Je veux voir ça ! Donne lui ta chatte ! ?Elle ne se fait pas prier, elle abandonne le sexe turgescent et se déshabille entièrement. J’en fais autant et je prends la direction des opérations. Je m’assois jambes écartées :?Viens me lécher, il va te prendre par derrière ! ?Elle s’exécute et colle sa bouche sur ma vulve, présentant sa croupe à mon fils.Ses énormes seins pointent vers le sol, son abricot s’ouvre attendant la pénétration.Jean brandit sa queue et la dirige entre ses fesses. Il s’enfonce trop facilement dans son large vagin dégoulinant. Déçu par le manque de sensation, il ressort son pieu abondamment lubrifié et force l’oeillet sans hésiter.Malgré la longue expérience de ce passage, Jean sent l’étroite gaine le serrer.Ca ne l’empêche pas de s’enfoncer au maximum et de commencer un lent mouvement de va et viens.J’en ressens le rythme par la langue de ma soeur sur mon clitoris et je manifeste ma joie par un petit cri à chaque coup de rein.Je ne suis qu’une femelle en rut qui prend son plaisir. J’aime mon fils et je veux lui donner du bonheur.Je me dégage, libérant la bouche de Chantal qui peut ? beugler ? son plaisir sans retenue.Je me colle contre Jean qui accélère son mouvement. Je frotte ma chatte contre sa cuisse.Je passe la main entre ses cuisses et empoigne ses couilles. Je les caresse dans un mouvement qui va de son anus à la vulve de chantal. L’effet est immédiat 😕 Maman, c’est bon ! je vais jouir ….donne moi ta bouche ?C’est le moment que choisit Chantal pour s’écrouler sur le canapé, libérant la queue de Jean. Je l’embouche voracement. Elle butte contre ma gorge et déverse son flot de sperme.J’ai du mal à tout avaler. De grosses traînées coulent sur mon menton.Nos halètements se calment. Nos corps sont enchevêtrés sur les coussins. Le mélange de nos odeurs est d’une intensité érotique incroyable… Je ne songe même pas à aller me laver .Ca doit ressembler à ça…..l’enfer

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