Chroniques d’Xhamster – Marie (2)

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Blonde

Chroniques d’Xhamster – Marie (2)Marie. La lettre est signé “Marie”.Elle qui a disparu du jour au lendemain. En congés, d’après sa collègue, Solange. Après trois semaines inoubliables. De notre rencontre jusqu’à la veille de son départ, j’ai vécu les 21 jours les plus intenses sexuellement de ma vie. Pour la métaphore, ma vie sexuelle est passée d’une kermesse de village à un abonnement illimité à Disneyland Paris. Plaisirs et désirs H24. Du coup, la descente est d’autant plus compliquée à accepter. D’ailleurs, je ne vous ai pas encore parlé de notre rencontre. Où ? Dans le métro. Un truc de dingue. J’étais assis sur un strapontin, dans le fond de la rame. 22h15. Affluence normale. Je sortais du ciné. Le dernier Tarantino. Toujours aussi bon ce réalisateur. J’y suis allé avec Marc, mon meilleur ami, et sa fiancée, Sophie. Vous voyez le tableau. Je tenais la chandelle. J’étais célibataire depuis trois mois. Rupture difficile avec Anaïs. On était ensemble depuis presque un an. Dont les quatre derniers mois à s’engueuler. Bref, je m’éparpille. Encore six stations et je suis chez moi. Arrêt du métro. Les portes s’ouvrent. Un type en costard, un couple main dans la main… et Marie. Blonde, les cheveux longs et lisses. Au premier coup d’oeil on voyait que c’était une bombe. Elle avait l’air d’aller à une soirée. Robe noire et blanche, très courte, une grosse ceinture noire avec un noeud autour de la taille. Une veste noire, suffisamment ouverte pour que je flashe sur son décolleté, plongeant. Une petite écharpe de soie autour du cou. Elle portait des escarpins noirs. Talons hauts et fins. Cuir, avec une sorte de noeud sur le dessus. Elle s’assoit sur le strapontin en face de moi. Elle ne me calcule pas. Moi j’ai les yeux fixés sur elle. Un regard envoûtant, bouche pulpeuse, maquillage délicat. La vingtaine. Une paire de boucles d’oreilles avec des feuilles argentés. Elle sort son téléphone de son sac et se met à l’utiliser avec frénésie. Ses doigts, joliment manucurés, vont à 100 à l’heure sur le clavier numérique de son Iphone. Je ne le réalise pas vraiment, mais ça fait deux minutes que je la fixe. Elle relève la tête et me regarde à son tour. Je détourne mon regard instantanément et fait mine de consulter le nom des stations de métro au dessus de la porte du wagon. La voilà à nouveau concentrée sur son téléphone et sur un échange de sms endiablés. La sonnerie de réception de messages retentit toutes les 10 secondes. Le genre de truc qui me saoule direct mais là, rien à foutre, je suis captivé par cette fille. Ses jambes, croisées, m’hypnotisent. J’ai l’impression qu’elle porte des bas. Putain, c’est mon point faible. Et, c’est à ce moment précis qu’elle décide de décroiser puis de recroiser ses jambes. Oui, elle porte des bas. Pas de doute là dessus. J’ai eu l’impression de rêver mais son mouvement fut suffisamment lent pour que je constate qu’elle ne portait rien sous sa robe. J’hallucine. Un fantasme ambulant, je vous le dit.Encore trois stations et je suis chez moi. Je sens dans mon fut’ que illegal bahis cette vision m’a quand même pas mal excité. Il n’y a plus personne dans notre partie du wagon. Le petit couple est allé s’installer un peu plus loin et le type en costard a remonté la rame pour atteindre l’autre porte. Je la sens de plus en plus agacée par la discussion sur son tel. A un moment, je l’entend marmonner :”Tu fais chier mec.” Moi, je n’arrive pas à regarder ailleurs. Elle va croire que je suis un gros creep. Puis d’un coup elle relève la tête et regarde à droite, à gauche et fini par me fixer, elle aussi. -“Hé, ça va te paraître chelou mais je peux faire un selfie avec toi ? C’est pour faire chier mon ex qui me saoule !”Je bafouille un “oui” hésitant et en un instant la voilà qui s’assoit sur mes genoux, approche son visage du mien, prépare son tel. Puis me dit : “Embrasse-moi, ça, ça le fera vraiment chier.” Je ne me fait pas prier et j’approche mes lèvres des siennes. Et elle prend la photo. A ce moment, les portes du métro se referment et je réalise que je viens de louper ma sortie. Elle se relève et repart s’asseoir en face de moi. – “Marie. Et toi ?”Présentation, quelques mots, banalités… en quelques minutes, plus je m’éloigne de chez moi plus j’en apprend sur elle. Sa soirée ratée de A à Z. Chez sa pote Charline. Son ex qui s’est rencardé alors qu’il n’était pas invité. Les cris. Elle qui claque la porte. Lui qui continue de la faire chier par sms. Et sa vengeance. Si douce pour moi. Le MMS qu’elle lui a envoyé semble lui avoir rabattu le caquet puisque depuis son téléphone est silencieux. -“Ca lui fera les pieds. Je sais c’est petit mais il me gonfle vraiment. Je descends à la prochaine station, on va boire un verre ? Tu m’as l’air sympa.””Okay.” Et nous voilà, à 23h, à la recherche d’un bar… Sur le chemin, je lui parle de moi, de ma soirée, du ciné… J’espère ne pas la saouler. Dans ma tête, je repense à ce baiser… je repense à ses jambes, à ce moment “Sharon Stone” qu’elle m’a fait vivre… Elle m’écoute, elle rit, me sourit…Merde, faut pas que je gâche ce moment juste parfait. “Je t’aurai bien proposé d’aller chez moi mais je suis retournée vivre chez mes parents après avoir rompu avec tu sais qui. On a qu’à aller dans ce bar. Je l’aime bien.” Musique à fond, stroboscope et jeu de lumière, il y a foule ce soir au “Carpe Diem”. On s’approche du bar quand tout à coup, elle me prend par la main et me conduit vers la piste de danse, elle aussi bondée. Rihanna dans les enceintes. Elle commence à se trémousser sur la piste. Merde, elle est vraiment canon. Ces mouvements se calent parfaitement sur le rythme de la chanson. Je m’approche en tentant quelques pas de danse – mais ce c’est pas trop mon truc, Marc m’a un jour affublé du surnom de Carlton à ce sujet – et Marie commence à se déhancher contre moi. Je n’avais encore jamais réaliser que je pouvais avoir un tel pouvoir de séduction. Je joue le jeu, obligé… d’ailleurs à ce moment là je ne réfléchit plus trop. Je suis passé en mode automatique. illegal bahis siteleri Sous son charme. Hypnotisé. Je rêve où elle se frotte contre moi ? Non, ce n’est pas dans ma tête. Elle me sort le grand jeu : colle son cul contre mon entrejambe et se met à se dandiner. Impossible de me contrôler. Et je vous le rappelle, je sais qu’elle n’a rien sous sa robe ! Je sens mon sexe se raidir au rythme de ses mouvements. Elle me jette un regard complice par dessus son épaule et je vois un large sourire se dessiner sur son visage. En un instant, elle me choppe la main gauche et la dirige vers son entrejambe. Par dessus sa robe, serrée, je sens mes doigts qui frôlent son sexe. Ma queue est tendue comme un arc. Je sens mes joues qui s’enflamment. En jetant un oeil autour de nous, je vois qu’un petit couple a compris notre manège. Tout deux ont les yeux fixés sur ma main qui la caresse, sans le moindre doute possible. Je suis en train de perdre totalement pied. Elle me tient. Plus de self-control, plus de maîtrise. Mes doigts sont animés d’une volonté propre. J’ai tellement envie d’elle. Le DJ lance une autre chanson. Marie se retourne et me susurre à l’oreille : “Tu veux baiser ?” – J’ai l’impression d’avoir la tête qui explose. Mon cerveau doit se noyer dans les endorphines. Pas besoin d’un long discours. Je pense que le poteau qu’elle sentait se dresser contre son cul laisse peu de place à l’interprétation. Je fait “Oui” de la tête. “Suis-moi.”, me dit-elle. Elle me prend la main et nous voilà en train de zigzaguer entre les danseurs pour nous diriger dans le fond du bar. Un couloir. Les toilettes. Merde, j’ai jamais baiser dans les toilettes d’un lieu public. Deux nanas devant la porte de l’unique toilette. Elle me fait “Chut” avec son index contre sa bouche et ouvre la porte de gauche, celle avec le panneau “Personnel du Carpe Diem seulement”. Pas de verrou. La deuxième fille qui attendait nous grille direct mais ne dit rien. Marie referme la porte derrière moi. C’est ce que l’on appelle un “placard à balais”. 6m², pas plus. Deux étagères en alu sur lesquelles reposent divers produits d’entretien. Une pile de chaise. Un aspirateur, un balai serpillière. “Bloque la porte avec les chaises.”, me dit-elle. Je m’exécute. “Déshabille toi, maintenant.” Elle s’adosse à l’étagère des rouleaux de PQ, jette veste et écharpe par terre, et soulève doucement sa robe de sa main gauche. Sa chatte parfaitement épilée s’offre à mon regard ahuri. De sa main droite, elle commence à se caresser avec son index et son majeur. Je sens ma bite qui s’apprête à littéralement faire éclater les boutons de ma braguette. Elle me regarde intensément et le mouvement de ses doigts se synchronise avec la musique, quelque peu étouffé par la cloison du cagibi. Elle alterne entre caresses de son clitoris et doigtés pénétrants. Je commence par enlever mon blouson, ma chemise. “Pas mal, dis donc ! … Allez continue.” Ma ceinture. Mes chaussures. Mes chaussettes. Bientôt c’est mon jean qui rejoint la pile de vêtements qui jonche canlı bahis siteleri le sol. Ma queue met l’élasticité de mon boxer à rude épreuve. “Stop ! Pas si vite. Je veux garder un peu de surprises pour notre prochaine fois. Si prochaine fois il y a, bien sûr… Ce soir je ne veux pas la voir, je veux uniquement la sentir.” Elle ouvre son sac et en sort une capote. On dirait presque qu’elle avait tout prévu. “Tu ne devrais pas avoir trop de mal à rentrer vu comme je mouille là. ” Elle se retourne, se penche légèrement vers l’avant. Puis soulève à nouveau sa robe. “Je ferme les yeux et je compte jusqu’à vingt. J’espère te sentir en moi avant la fin du décompte.” Un, deux, trois… je baisse mon boxer… Quatre, cinq, six… Je sors le préso de son emballage et le fait glisser hâtivement le long de ma queue… Sept, huit, neuf… Je m’approche et m’aide de mes doigts pour écarter sa chatte – humide, elle ne mentait pas – Dix, onze, douze. Elle se cambre un peu plus, m’offrant ainsi un angle d’attaque moins acrobatique. Treize, quatorze, quinze… J’approche ma queue de son sexe béant… Seize, Dix-sept, Dix-huit… Je m’enfonce en elle… Jeu, set et match. Voilà. Et ce n’était que le début. Notre rencontre était même relativement “soft” par rapport à ce que l’on a vécu par la suite… à de très nombreuses reprises. Jusqu’à son départ… Mais, la providentielle Sarah a surgi dans ma vie (et s’est jeté sur ma queue, si vous avez manqué l’épisode précédent !) avec, potentiellement, une lueur d’espoir concernant Marie. Une énigme. Deux mots. Xhamster et Marie. J’enfile mon pyjama, je sors une bière du frigo et m’empare de mon ordinateur portable. Google est mon ami. Je rentre le mot mystère dans le moteur de recherche et la réponse ne se fait pas prier. Un site porno. Partage de vidéos, photos, rencontres, webcams… la trousse à outil du site de cul. Je ne le connaissais pas celui là… pourtant j’ai eu ma phase insomnie devant divers sites de cul… mais jamais je n’avais entendu parler de ce rongeur version XXX. Très vite je découvre la partie communautaire du site. Pour avoir accès à l’ensemble des outils de recherche il faut se créer un compte. Sans hésiter je me crée un profil. Je suis dans un revival Twin Peaks en ce moment, je choisi le pseudo de “Bob” ! En quelques instants, mon profil est créé. Il y a de grande chance que le message que m’a remis Sarah, soit un indice pour retrouver Marie. Je ne vous ai pas encore raconté à quel point elle est “joueuse”. Sans doute me lance t’elle un nouveau défi : la retrouver dans les méandre de ce site internet. Onglet “Rencontres”. On va faire simple : Homme cherche Femme. Pays : France. Ville : Paris. Soyons fou, je coche les cases : “avec photos” et “en ligne”. Je clique sur : “Chercher”. Une trentaine de profils apparaissent. Je les étudie, un à un. Non. Non. Non… 3ème ligne, deuxième avatar, mes yeux s’écarquillent de stupeur. Une certaine “Marie”, en ligne. Et son avatar… merde… Deux mots en latin : “Carpe Diem”. Mais c’est le nom du bar où… putain, mais c’est elle ! [A suivre]Le mystère s’épaissit… Comme précédemment n’hésitez pas à me dire en commentaire si cette deuxième partie vous a plu (ou non). Les critiques sont toujours bonnes à prendre. @ bientôt pour la suite.

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