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Asian CuckoldYoko dévorait la fine tige molle de son mari avec parcimonie. Ce soir, comme tous les soirs depuis des années, il ne franchissait pas le palier de la mi-molle.« Chéri, dit Yoko en essuyant son visage tout humide de salive. Que se passe-t-il ? Quelque chose ne va pas ? »Vexé, Atsuji reboutonna son pantalon et fuit vers la cuisine. Il se servit un bol de riz blanc, s’installa dans la cuisine et se mit à réfléchir. Il s’était fichu dans un sacré pétrin. Aujourd’hui, son ménage vivait bien, dans un bel appartement en plein centre de Tokyo. Il occupait le prestigieux poste de directeur commercial au sein d’une grande entreprise spécialisée dans l’électroménager. Un chiffre d’affaires colossal. Une renommée internationale. La vie rêvée, en somme.Mais la vie d’Atsuji, sinon en surface, se détachait en tout point du conte de fées. Un poste de ce niveau, une telle réussite, ça ne s’invente pas, ça se paye. Atsuji subissait ce lieu commun. Ses dettes l’étranglaient. Tout à l’heure, Ils lui avaient rendu visite dans son bureau et Ils ne plaisantaient pas.Yoko ne pouvait pas le savoir et l’attitude de son impuissant de mari la tracassait. Oh, bien sûr, son mari n’avait jamais été une très bonne affaire. Empoté à un tel point qu’il n’avait même pas été capable de lui faire un enfant… Mais cette mollesse lui paraissait bien trop singulière. C’était récent. Une ou deux semaines, pas plus. Quelque chose se passait. Son mari rencontrait-il des problèmes au travail ? Cela lui semblait peu probable, bien qu’en qualité de patron des entreprises Toshimi, elle savait qu’il s’exposait par essence à certaines difficultés.Néanmoins, son désir de se faire empaler, là, tout de suite, primait sur la résolution du mystère qui entourait les pannes sexuelles de son homme. Elle suça son index et son majeur et se fit jouir rapidement en imaginant une bite anonyme, longue et puissante, l’antithèse de celle qu’elle s’enfilait depuis maintenant plus de quinze ans.Quand elle eut fini, elle alla faire pipi et pria pour qu’il n’oublie pas encore leur anniversaire de mariage.****Atsuji sirotait un délicieux whisky irlandais tout en scrutant l’horizon sombre et brumeux qui enveloppait la ville. Les panneaux publicitaires éclairaient fébrilement cette sorte de nuit en plein jour. L’alcool irradia son œsophage, débouchant son nez encombré d’angoisse et de peur… Ils arrivaient. Un coup d’œil à sa montre. À cette heure-là, Ils devaient être dans l’ascenseur. Peut-être dans le couloir ? Non, quand même pas, à moins que, ruminait-il intérieurement, combien de minutes se sont déroulés depuis que la secrétaire m’a prévenu ?La porte s’ouvrit. Il se retourna à la hâte et renversa son verre sur ses souliers. Le liquide ambré se répandit sur le tapis. Amu, de la sécurité. Un brave homme svelte, dont les yeux semblaient très éloignés l’un de l’autre, comme tiré par une épingle invisible accrochée derrière son crâne.•Monsieur, dit-il d’un ton mal assuré, Ils sont là.•Oui, oui, faites-les venir.Atsuji tomba dans son siège sans prendre la peine de ramasser le verre brisé ; ça pouvait attendre. Mains croisées sur sa bedaine, il respira un grand coup pour dire de paraître un peu plus détendu. Deux silhouettes minces et longues, presque identiques, apparurent dans l’encadrement. Atsuji fit son possible pour hydrater sa gorge aride en frottant sa langue sur son palais. Pas d’eau à l’horizon. Il saisit alors un glaçon dans le tiroir réfrigéré et se mit à le sucer avidement pendant que les deux types s’installaient en face de lui, sans y avoir été invités, évidemment. Ils étaient comme chez eux, ici. Sa réussite, c’était un peu… La leur.Eko et Ashi. Deux frères jumeaux intrépides. Des hommes de main sans peur, fidèles soldats du baron de la pègre locale. Réputés cruels, auteurs de plusieurs assassinats. Le col de leurs chemises blanches dissimulait mal leur cou tatoué de couleurs vives. Eko alluma une cigarette tandis qu’Ashi se pencha vers l’avant, nouant ses mains sur le bureau en marbre.- Est-ce que la nuit vous a porté conseil, Monsieur Atsuji ?Eko tirait une longue latte en le dévorant du regard. Des rumeurs le disaient cannibale. Il ne parlait jamais. De ce mutisme suintait une voracité sans égale. La fumée goudronnée emplit l’atmosphère. Atsuji toussa.•Oui, bien sûr, j’ai réfléchi.•C’est une bonne chose. Approuva Ashi en jouant avec ses doigts de pianiste. Le Vieux Loup ne tient plus en place et les nombreuses sollicitations qu’il reçoit l’incitent à casser le pacte qui vous lie…Atsuji suait du front, des mains et de la moustache. Il tamponna son visage avec un mouchoir avant de reprendre, d’un ton fébrile et décidé ;•Dîtes au Vieux Loup que je suis d’accord. Je… Je vais coopérer. Ce soir. À l’heure prévue. À l’endroit prévu.•Nous ne sommes pas vos ennemis, Monsieur Atsuji. Au contraire, nous vous protégeons. Vos ennemis sont autour de vous, dans le bureau d’à côté, à l’étage du dessous, dans la tour voisine… Vous le savez, n’est-ce pas ?•Oui, évidemment…Eko lâcha sa cigarette et l’écrasa longuement avec sa semelle, sur le tapis. Pas une seule expression n’avait parcouru son visage depuis son arrivée. Une cicatrice qui courait du coin gauche de sa lèvre à son oreille figeait sa bouche minuscule dans un rictus sournois et immature.•Au revoir, Monsieur Atsuji. À tout à l’heure.•Oui, c’est ça.Les jumeaux se levèrent et Atsuji aussi, il fit le tour de son bureau pour raccompagner les deux hommes de main vers la sortie. Brèves salutations. Il transpirait comme un dingue, à un tel point que deux longues auréoles avaient bruni sa chemise, des aisselles jusqu’à la taille. Son cœur vibrait à fond. Un autre whisky, un nouveau verre, pour faire passer la pression. Il tremblait tellement qu’il eut du mal à le porter jusqu’à ses lèvres.****Dans la voiture, les yeux bandés, elle trépignait. Il y avait pensé. Cette fois, il n’avait pas oublié ! Quel bonheur ! Atsuji roulait depuis plus d’une heure. Il zigzaguait sur un petit chemin montagneux. Une main sur le volant, l’autre posée sur les jambes découvertes de sa femme. Il la caressait nerveusement, allant et venant sur sa cuisse douce comme de la soie. Lorsqu’il remonta plus intensivement vers son sexe, il en capta toute la moiteur et cela ne l’indifférait pas. Il retrouva, durant le trajet, une trique réelle et virile. Il se sentit honteux. Comment cette situation pouvait-elle l’exciter ? Il eut beau chasser ces idées malsaines, son érection revenait plus vigoureuse à chaque fois et quand il sortit du véhicule, un relief évocateur gonflait son entrejambe. Il fit son possible pour la dissimuler, en la replaçant par la poche, en baissant un peu son pantalon, en sortant sa chemise… Rien n’y fit.•On est arrivés ? Demanda Yoko.•Oui… Répondit-il, la mort dans l’âme. Nous sommes arrivés…•Je peux enlever le bandeau ?•Non, pas encore…Il se tut et se plaça derrière elle, la guidant mains sur les épaules vers la bâtisse abandonnée. C’était une vieille maison dont les fenêtres avaient été condamnées par des plaques de bois. Des mauvaises herbes poussaient dans les interstices humides de la façade. Les planches du palier grinçaient. Un rat les sentit approcher. Il détala et s’incrusta dans une fente qui menait à la cave. Yoko l’entendit. Elle n’aimait pas les rats. Elle savait reconnaître leurs petits pas. La viscosité de leur queue. Berk.•C’était quoi, ça ?•Rien, rien.•Atsu, où sommes-nous ?Loin de tout, aurait-il voulu répondre. Mais il se tut et sonna. À l’intérieur, le Vieux Loup vit le visage gonflé et grassouillet du directeur des entreprises Toshimi. Un sourire crapuleux releva ses moustaches, découvrant des dents de rongeurs. Ses ongles, préservés depuis plusieurs années, ondulaient au bout de ses doigts comme des excroissances d’ivoires.Et comme il ne pouvait guère appuyer sur le bouton par lui-même, du fait de cette particularité, il s’adressa à son assistante, la laide Oona, une vieille femme aux dents pourries.•Ouvrez !Le cliquetis du mécanisme alerta Atsu. Il empoigna sa femme par le bras et pénétra dans le hall d’entrée. Derrière lui, la porte se referma automatiquement. Ici, rien à part du bois pourri, un escalier à la rampe déchiquetée par endroits et une fenêtre recouverte de poussières qui plongeait les époux dans de poisseuses ténèbres. Yoko respirait comme un chien chez un vétérinaire dans l’attente d’une piqûre mortelle. Elle se doutait de quelques choses. Un fumet piquant, mélange d’humidité et de pourriture, agressa ses délicates narines.•Atsu, réponds-moi ! Le somma-t-elle. Ça sent drôle, ici !•Tais-toi, ma chérie.Ashi apparut en haut de l’escalier. Il descendit lentement, appuyant sur chaque marche comme pour tester leur résistance. Ça grinçait, c’était fragile. La rampe, les murs et toutes les fondations de la baraque mousseuses se mirent à tanguer si fort que Yoko, son imaginaire pour seul allié, crut se trouver en pleine mer, dans une vieille bicoque. Elle se débattit illegal bahis et comme elle ne parvenait pas à se soustraire à l’étreinte sévère de son mari, ce dernier lui administra une bonne claque en plein visage. Et il ne la loupa pas. Séchée sur place, elle s’écroula, bras le long du corps, raidie, comme foudroyée par une attaque.•Joli coup, déclara obséquieusement Ashi tout en relevant ses manches.•Je jouais au base-ball, étant plus jeune, dit Atsu en soufflant sur les verres de ses lunettes. Je frappais fort. On m’appelait « Le Marteau. » et si ma vision avait été meilleure, j’aurais certainement fait carrière.•Et vous n’auriez pas dû livrer votre femme en pâture à un vieux vicelard psychotique ?•Qui sait…•Vous m’aidez ?Ashi saisit la femme par le haut de son corps et dans son emprise, il en profita pour palper allègrement ses petits seins en forme de mandarine. Pas terrible, songea-t-il alors que Atsu, fort de son embonpoint et de son récent tour de rein, se penchait douloureusement pour soulever sa compagne par le bassin. Les deux hommes synchronisèrent leurs mouvements et s’engagèrent dans l’escalier. Pour Ashi, rien de compliqué, mais il fallut faire deux pauses durant l’ascension pour permettre à Atsu de récupérer son souffle, et pourtant, il n’y avait que dix-huit marches.Ils trimbalèrent Yoko le long d’un couloir puis la déposèrent sur un matelas parsemé de traces organiques. Dans cette même pièce, installé dans un siège aux allures de trône, le Vieux Loup tirait sur une pipe tenue par une femme ignoble, serrée dans une robe traditionnelle rouge qui couvrait tout son corps, du cou jusqu’aux chevilles, et la saucissonnait allégrement. Les moustaches du Vieux Loup frétillaient cependant qu’il dégustait visuellement l’épouse modèle. Ses ongles ont encore poussé, pensa Atsu en essuyant son front, comment diable fait-il pour se gratter les fesses ?Les herbes consumées de la pipe l’enivraient, sa tête tournait. Il s’accrocha à une poutre apparente pour ne pas chanceler et remarqua, non loin de lui, deux yeux jaunes qui scintillaient dans l’ombre, prêt à bondir au moindre geste brusque.•Atsuji… crissa Le Vieux Loup.•Keitaro… fit Atsuji sur un ton semblable.•Enfin, tu t’es résolu à payer ta dette.Entre ces trois lignes de dialogue, le chef d’entreprise avait déjà tourné la tête cinq fois, il surveillait ses arrières, horrifié à l’idée qu’on puisse le prendre à revers et l’égorger d’un coup de couteau. Les yeux jaunes n’avaient pas bougé d’un pouce, simplement, ils semblaient virer au rouge. Pendant ce temps, Ashi liait chaque membre de Yoko par des bras d’acier fondu dans un mur de brique, le seul dans cette baraque qui semblait un tant soit peu solide.•Je t’ai donné tout l’argent que tu désirais…•Pendant toutes ces années, je n’ai cessé de te répéter combien l’argent m’importait peu !•Oui, c’est vrai, je suis désolé, vous avez tant fait pour moi…•Tu m’avais fait une promesse, Atsuji. Déclara Keitaro en crachant un opaque nuage de fumée. J’ai pris des vies pour toi et une vie ne vaut pas tout l’or du monde. Seule l’offrande d’un corps qui t’est cher pouvait régler ta dette ! Et tu le savais ! POURQUOI N’AS-TU RIEN FAIS, ATSUJI ? POURQUOI ?Il avait crié à s’en décrocher les poumons et une quinte de toux vint mettre un terme à sa fureur. Reculant, car apeuré, Atsuji heurta involontairement un corps dont il sentit les os pointus. Il comprit ; les yeux de hibou appartenaient à cette carcasse décharnée et à peine l’eut-il constaté qu’une violente force le propulsa au sol, aux pieds du Vieux Loup, ce dernier congédiant son assistante en la sommant de le laisser tranquille. Atsuji vit le mouchoir tâché de sang qu’elle rangeait dans une poche de sa robe. Le tintement des chaînes se fit entendre. Yoko émergeait doucement. Ses yeux étaient toujours bandés. Keitaro s’éclaircit la gorge et dit d’une voix fébrile ;•Tu as attendu trop longtemps… Malheureusement. Je suis trop vieux pour ces choses-là et pourtant, c’est aujourd’hui que j’atteins l’apothéose de ma lubricité, grâce à cette femme que l’on me promet depuis des années, cette femme qui m’obsède, ta femme, Atsuji…Il marqua une pause. Sa respiration sifflait comme un train à vapeur. Ashi alluma une cigarette. Sous la lueur du néon central, seule source lumineuse en état de marche dans cette masure brinquebalante, il avait l’aspect verdâtre d’un jeune crapaud et son épaisse lèvre inférieure semblait vouloir gober sa clope. Tout en surveillant Atsuji, il gardait un œil sur sa femme qui commençait à remuer un peu. Il entortillait autour de ses doigts un vieux torchon noir de crasse. Dans quelques secondes, elle se saurait prisonnière et pour qu’elle ne hurle pas – car son patron, du fait de son grand âge, était fort sensible aux décibels – il allait devoir la bâillonner.Le Vieux Loup ordonna à Oona de retirer le châle de laine qui couvrait ses genoux. Elle le fit brusquement, comme on enlève une nappe sans toucher aux couverts, dévoilant l’incroyable engin du vieillard. C’était une poutre veineuse épaisse comme l’avant-bras d’Atsuji. Terrifié par un tel membre, quatre ou cinq fois comme le sien, il se vit dépossédé de ses forces. Il chancela, tomba sur les fesses et au lieu de se relever, il poussa sur ses mains pour reculer, comme si la monstrueuse bite risquait de lui bondir à la gorge.•Nom de dieu de merde, jura-t-il.•Héhé, ricana le vieillard. Comme je vous le disais tout à l’heure, la Nature est cruelle. Aujourd’hui, je ne suis plus en mesure d’utiliser ce bijou à ma guise, cependant, avec le concours de mes plus fidèles disciples, tout est encore possible.Au même moment, Yoko voulut s’étirer, geste naturel que les liens d’acier qui la retenaient prisonnière lui interdirent. Interloquée, elle marqua un temps d’arrêt puis bougea encore. Bloquée à nouveau, alertée par le cliquetis des chaînes sur les briques, elle se mit à hurler. Ashi intervint aussitôt, il sauta sur elle, lui péta le nez d’un coup de coude et comme elle souffrait la bouche ouverte, engouffra son torchon dans les profondeurs de sa gorge.•Ça suffit, Ashi ! S’égosilla Keitaro. Je veux qu’elle soit consciente.•Désolé, patron.•Détachez là et amenez-la moi.L’homme aux yeux jaunes fit deux pas en avant. Eko. Il était uniquement vêtu d’un slip blanc et sa maigreur inesthétique lui conférait une silhouette patibulaire. À l’exception de son visage et de ses mains, tout son corps était recouvert d’une fresque multicolore peuplée de dragons, de carpes, de fleurs et d’un Bouddha, comme un vêtement d’encre cousu à même son épiderme. Son sexe et son derrière sont-ils également peints ? Se demanda Atsu avant de chasser ces questionnements saugrenus de son esprit.Les deux jumeaux soulevèrent Yoko par les épaules et neutralisèrent ses mouvements brusques par de simples pressions manuelles. Ils rejoignirent le Vieux Loup qui passait sa langue pointue sur sa moustache. Sa queue frétillante gagnait de l’envergure de minute en minute. Ashi se plaça à gauche du trône, Eko à droite.•Calme-toi, ma chérie, ça va bien se passer… Dit Atsu, qui bandait aussi un peu. Laisse-toi faire !La voix de son mari, bien que teintée d’anxiété, sembla détendre Yoko. Elle cessa de remuer sans pour autant faire preuve de docilité, trop occupé qu’elle était à tenter de résoudre le pourquoi du comment. Son mari était là, tout près d’elle, il se voulait rassurant, ce n’était donc pas un enlèvement, Atsu coopérait, il consentait à ce qu’on la manipule comme un vulgaire sac de riz. La rage montait en elle, escaladant fiévreusement la muraille de peur qui protégeait son esprit fragile d’une attaque de panique. Et si elle l’avait vu, se tripotant discrètement la verge par-dessus le pantalon alors qu’Eko et Ashi s’employaient à l’empaler sur l’engin mirobolant du Vieux Loup à moustaches, comment aurait-elle réagi ?Atsu se posait la question et sa bandaison n’en était que plus irrémédiable. Yoko sentit qu’on franchissait de force le seuil de son royaume secret. Un viol. Elle griffa de toutes ses forces le dos des jumeaux, se débattit et reçut un violent coup de tête qui perça son arcade comme un litchi. Un sang noircit de terreur s’écoula sous son bandeau et se mit à dégouliner sur sa joue, dans son cou, ça la chatouillait. Elle admit dès lors que pour ne pas souffrir, ou mieux, pour s’en sortir, il fallait économiser autant de force que possible. Comme l’asticot piégé dans la toile d’une mante religieuse, elle acceptait consciencieusement son triste sort.Le phallus du Vieux Loup était vraiment énorme. Atsu crut à une hallucination ; c’était peut-être à cause de cette herbe nauséabonde qu’il fumait à longueur de temps, enraciné dans son fauteuil ? Impossible, se dit-il, aucune drogue ne peut produire une telle disproportion. Le gland rouge vif se distinguait du teint général du vieillard, qui virait au verdâtre marécageux. Des veines couraient tout autour de la hampe comme une couronne de lierre et les testicules illegal bahis siteleri pendaient quelques centimètres avant le sol, ballottant virilement en tapant contre la structure dorée du trône, comme des cloches, mais sans le bruit.Comme ça ne rentrait pas, Ashi cracha dans la paume de sa main et frotta dans un premier temps l’extérieur du sexe aride de Yoko, en insistant bien sur le con pour faire démarrer la machine. Puis il suça méthodiquement son majeur et son index, enfonçant respectivement l’un dans son vagin et l’autre dans son anus. Des larmes trempèrent le bandeau. Elle grelottait. La pression qu’exerçait Eko sur sa nuque la paralysait. Elle n’avait pour seule arme que les sanglots comme un exutoire et ce scintillement lointain qui lui parvenait, à l’intérieur d’elle, ou peut-être en dehors. Une nuée de lucioles silencieuse qui la rassurait ostensiblement tandis qu’Oona dirigeait l’ogive nucléaire de Keitaro vers sa chatte.L’insertion en son sanctuaire privé ne fut pas chose aisée. Eko, qui pâtissait d’une sévère déficience en terme de repère spatio-temporel,n’appliquait pas convenablement les consignes dictées par Oona. Quand celle-ci lui intimait d’aller à gauche, il allait à droite, et inversement. Ashi n’avait pas ce défaut, mais, pour empaler Yoko, la précision devait être respectée par les deux pôles directeurs.Atsu déboutonna son torse et se mit à frotter frénétiquement son torse, très légèrement velu, en haletant fort. La maladresse de l’entreprise retardait l’acte et le suspens qui en découlait l’emplit d’une fièvre lubrique. Son petit mollusque étouffait entre ses cuisses. S’il avait été mieux doté par la Nature, nul doute qu’il aurait craqué les coutures de son pantalon.Quand ils y parvinrent, il y eut comme un craquement, comme si Yoko perdait son pucelage une seconde fois, comme si, à force d’abstinence, le muscle protecteur de l’Innocence s’était régénéré. Elle saigna un peu. sa bouche forma un O. On la déchirait de l’intérieur. Elle bredouillait des supplications tandis que le gland s’immisçait à travers ses parois étroites en la perforant cruellement, sans considération pour sa petite fleur.Le Vieux Loup émit quelques râles nasillards, de plaisir, sans doute, puis il ordonna à son assistante de lui gober les bourses, puis, à l’intention des deux hommes qui opéraient le mouvement de va-et-vient comme deux automates ;•Plus vite ! Mieux que ça !Yoko n’était pas si lourde, mais la répétition du même mouvement impliquait une évidente fatigue musculaire pour les porteurs. Ashi, pourtant mieux physiquement construit que son frère jumeau, faiblit en premier. Eko le remarqua et nargua son frère en augmentant encore la cadence, allant jusqu’à faire descendre la pauvre femme jusqu’à la racine de la batte du Vieux Loup. Atsu voyait la glotte de son épouse percuter le fond de sa gorge comme les couilles du Vieux Loup contre le siège royal. Cette fois, c’en était trop. Il se leva, serra les poings et demanda, la mâchoire crispée ;•Je peux me branler ?•Oh, mais bien sûr, fais donc, mon ami, fais donc ! S’enquit le vieillard, comme revigoré par ce coït forcé. Ta femme est si délicieuse, tu as le droit d’en profiter aussi !Comme un témoignage de son enthousiasme, Keitaro agita fébrilement son bassin pour planter son dard plus profond parce que malgré son grand âge, il avait encore ce désir vorace d’aller plus loin. Mais était-ce seulement possible ? Yoko refrénait le typhon de volupté qui balayait tout sur son passage à l’intérieur d’elle, remplaçant la douleur par un engourdissement licencieux qu’elle refusait d’assumer. La honte et le plaisir l’étourdissaient. Cette queue qui la visitait sans permission faisait jaillir en elle des sentiments vicieux ; elle était plus grosse encore que celle qu’elle se plaisait à imaginer dans ses fantasmes actuels. Devant ses yeux, les lucioles tournoyaient et l’enveloppaient comme un drap éblouissant. Face à elle, la pesanteur se défilait. Elle volait haut dans un ciel liquide parsemé de nénuphars, la tête à l’envers…Eko et Ashi continuèrent. Le premier mordillait la nuque de Yoko en bavant et en respirant fort, sa langue râpeuse dehors, comme un chien. Le second puisait dans ses ressources pour continuer. Oona, allongée sur le dos, polissait les bourses de son maître avec un indéniable savoir-faire. Atsu tirait sur son petit sushi comme un forcené et à cause de son gland ultra-sensible, il avait déjà craché la moitié de la purée. Heureusement, il s’était bien débrouillé pour en retenir quelques gouttes, se disant qu’après l’éjaculation il ne serait plus capable de supporter cette vision masochiste.Bientôt, Le Vieux Loup en eut assez.•Assez ! Dit-il justement. Nous allons la remplir par tous les trous.La remplir par tous les trous ? Comment ça ? Atsu ignorait les projets du vieillard, mais il se félicitait de n’avoir pas vidé totalement ses couilles ; rien ne l’excitait plus que l’aboutissement. Le bouquet final. Pour se motiver, lorsqu’il devait se plier au devoir conjugal, il plongeait sa tête dans l’oreiller, fermait les yeux et imaginait le vagin flasque de sa compagne souillée de semence et ses lèvres blanchâtres, pendantes comme un cou de dindon. Songeant à cela, il se sentit comme un sportif héroïquement parvenu à la moitié d’un effort de longue haleine. Il avait soif. Une gorgée d’eau aurait suffi, mais rien ici pour le désaltérer.•Oona ! Cria le Vieux. Apporte-nous le dragon à mille têtes !Aussitôt dit, aussitôt fait : La servant se releva, essuya son visage, s’inclina respectueusement face à son maître et s’effaça dans une pièce voisine cependant qu’Ashi attachait une Yoko groggy, essoufflée. Son entrejambe moite avait été si dilaté qu’Atsu distinguait clairement les spasmes musculaires qui secouaient les muscles du petit vagin perforé. Pratiquement inconsciente, son épouse bredouillait encore des choses incompréhensibles, sur un ton trop ambigu et monotone pour qu’on puisse deviner réellement la nature de ses palabres. Se plaignait-elle ? En voulait-elle encore ? À ce stade du supplice, nul ne pouvait trancher formellement et c’était préférable, puisqu’on décidait à sa place.•Voici le dragon, mon oncle.Oona présenta au chef de famille un appareil transparent, sorte d’entonnoir muni de trois tuyaux, tous terminés par un petit embout.•Très bien. Dit-il. Placez-le et emmenez-moi jusqu’à elle.Une fois de plus, Oona s’exécuta consciencieusement. Elle plaça le premier tuyau dans la bouche de Yoko après avoir retiré le bâillon qui ne lui servait plus à rien -elle était trop éreintée pour crier- un autre dans son vagin et le dernier dans son trou du cul. La curiosité d’Atsu allait croissante. Ce drôle d’ustensile l’intriguait. À quoi cela pouvait-il bien servir ?La remplir par tous les trous…Oui ! Quelle idée somptueuse ! Il essuya encore ses lunettes, hors de question de rater la plus infime partie de ce délicieux spectacle, il voulait capter les moindres détails de cette scène afin que le souvenir soit plus vivace encore que l’expression même du réel, quand le moment viendrait d’y repenser.L’assistante passa derrière le trône et souleva une manivelle qui fit se surélever le siège. Quatre roulettes apparurent en dessous. Elle n’avait plus qu’à pousser le Vieux Loup. Quand il fut placé à bonne distance du matelas, elle le masturba servilement, crachant régulièrement sur la hampe, comme pour la faire reluire ; des réflexes de ménage qui persistent, songea Atsu, un brin misogyne.•Oh, oh ! Ahh ! Oui ! Je viens ! Je viens !En bonne professionnelle, elle connaissait la marche à suivre ; cette drôle de cérémonie était sa routine. Quand elle vit la décharge se prononcer au bout du canon de chair, elle le tira vers le bas pour rapatrier le foutre dans l’entonnoir. Le liquide de vie jaillissait par saccade, par gros jets. Atsu les compta ; il y en eut plus d’une dizaine ! Fasciné, il se rapprocha et observa le coulis gélatineux, si abondant qu’il stagnait dans le siphon de l’entonnoir rempli au quart, se délivrant peu à peu par les trois tuyaux.Yoko toussa et cracha du foutre. Eko lui mit une grande claque sur la tempe.•AVALE !Malgré tous ses efforts, le sperme s’accumulait encore, à une vitesse folle. Elle buvait la tasse. Comme l’intransigeance guidait ses bourreaux, elle ne fut pas du tout épargnée ; Ashi rattrapait la substance perdue en raclant ses joues à la cuillère puis en reversant son contenu dans l’entonnoir.Oona tapota la poutre contre le réceptacle pour l’égoutter et la laissa choir sur les cuisses de Keitaro. Elle ressemblait à un petit a****l de compagnie sans poil, une sorte de gros rat. Le vieux la caressait du dos de ses doigts, comme pour la récompenser d’un labeur accompli. Brave et éprouvée, elle dégonflait lentement, sans bruit.Comme hypnotisé par la progression du foutre à travers les tuyaux striés, Atsu massait ses couilles. Les orifices inondés de Yoko débordaient, formant des auréoles brunes sur le matelas.•Ça te canlı bahis siteleri plaît, n’est-ce pas, Atsu ?Pris sur le vif, le mari interrompit la palpation vigoureuse à laquelle il s’adonnait. Oui, il aimait ça, c’était une évidence ! Une euphorie si violente qu’il n’avait même pas songé à dissimuler son extase. Mais comment avouer une telle chose à celui-là même qui tentait de dérober son honneur ? Un tel aveu ne risquait-il pas d’aggraver encore les souffrances de sa pauvre femme ? Soit. Parfois, il fallait faire des choix. Il baissa les yeux en signe de déférence et contempla sa verge, fine comme une aiguille de chaire. Même en érection, elle peinait à s’émanciper de son paquet testiculaire. De loin on aurait dit une troisième couille. Il bredouilla ;•Oui, j’aime ça…•Tant mieux ! S’esclaffa le Vieux Loup d’une voix sifflante. Car ce n’est pas encore fini ! Le meilleur pour la fin !Atsu s’y attendait un peu. En fait, la réaction du vieux parrain allait dans le sens de ses précédentes supputations. Mais quel forfait plus horrible pouvait-il encore commettre ? L’abattre ? Mutiler clitoris avec ses ignobles ongles !? Ashi s’évertuait toujours à réceptionner les cascades de foutres visqueux qui dévalaient ses joues et comme une simple cuillère ne suffisait plus, il plaça deux poires à vomi d’une part et d’autre de son visage et une autre sous ses cavités béantes. Le vieux s’adressa à Eko ;•C’est ton tour.Le visage d’Eko, totalement inexpressif, fut soudainement éclairé d’une lueur démoniaque ; il sourit au signal de son supérieur et cela semblait si rare qu’Atsu entendit presque ses zygomatiques grincer comme la vieille porte d’entrée de ce bloc misérable, comme les marches de l’escalier, comme les planches sur le sol, comme tout ici. L’homme de main retira son slip et le jeta dans un coin de la pièce, mettant à nu un anaconda massif, également tatoué sauf le gland qui, de par sa sensibilité, ne pouvait supporter l’encrage. Il marcha d’un pas solennel, sexe en main. Oona s’agenouilla et tendit la coupe ; elle allait recevoir l’offrande finale. L’outil d’Eko, large comme un tronc, nécessitait qu’il s’y prenne à deux mains. Il entreprit un acte masturbatoire.•Eko possède de nombreuses caractéristiques qui font de lui un être unique, dit le Vieux Loup en forçant Atsu à venir près de lui d’un geste de main.Atsu rejoignit le parrain. Nouvelle position, nouveau point de vue ; il observait à présent Eko de profil et de cette façon, on pouvait très bien croire qu’il s’agissait d’un gourdin tant son diamètre sortait de l’ordinaire.•Eko, reprit-il, est un être impitoyable. Il n’a peur de rien. Il n’a pas peur de la mort et je ne compte plus tous les dangers auxquels il a fait face pour préserver l’honneur du clan. Je pourrais lui demander d’abattre sa propre mère, si elle était encore en vie…Entre temps, Eko avait accéléré le mouvement et Atsu admirait sa cage thoracique qui gonflait de plus en plus fort, de plus en plus rapidement. Il remarqua son pouls, derrière les couches d’encre, battre une mesure enlevée. Il n’écoutait le Vieux Loup que d’une oreille très distraite ; le coup partirait d’un instant à l’autre et il ne voulait pas en louper une miette… Où plutôt une goutte.•… mais hormis sa passion pour la chaire humaine, l’autre particularité d’Eko réside dans la puissance et l’abondance de son éjaculation.Atsu tilta. De ce qu’il avait compris, Yoko risquait gros. Il demanda ;•Et si… elle ne survit pas ?•Elle survivra, rétorqua Keitaro. Les tuyaux rainurés assurent une diffusion progressive de la semence dans les orifices de votre délicieuse épouse.•D’…D’accord…Un hurlement rauque et granuleux déchira l’atmosphère poisseuse. Eko se dégorgeait. Atsu commença à se branler, en se concentrant pour ne pas jouir avant la fin, mais c’était peine perdue. Il gicla alors que l’homme de main venait de remplir la moitié de la coupelle sans montrer aucun signe d’épuisement. Pathétique, il remonta son pantalon, omit de resserrer convenablement sa ceinture et essuya ses doigts potelés dans l’intérieur de sa chemise.Le spectacle s’éternisa. Eko n’avait toujours pas mené sa jouissance à terme et la coupe se trouvait déjà à moitié remplie. Atsu fut pris de nausées quand pour accélérer l’écoulement du foutre dans les cavités de son épouse, Ashi exerça quelques pressions sur les tuyaux.•N’est-ce pas surprenant, Atsuji ? Ricana le Vieux. Comment le corps humain peut-il contenir autant de semence, hein ? Indéniablement, cet Eko est quelqu’un de bien singulier.Atsu acquiesça silencieusement. Des nausées l’envahirent. Sa femme était imprégnée du jus de ces caïds de la pègre, ces assassins, ces escrocs, ces salopards de Yakuzas. Il se revoyait quelques années auparavant, jeune, idéaliste et arrogant. Il avait bâtit son empire sur le cadavre de nombreux rivaux et son honneur constituait une rançon plutôt juste, en l’occurrence. Il assumait.Les jets d’Eko devinrent moins épais. Yoko ne bougeait plus. Atsu eut une mauvaise pensée. Est-elle morte ? Se demanda-t-il. Non. Elle expirait. Péniblement, mais non moins sûrement. Des petits bruits de souris émanaient d’elle. Elle se faisait fourrer comme un ichigo daifuku. Son met favori, songea-t-il avec amertume.•Aaargh…Cri d’agonie. Eko s’écroula, à bout de force, sur le sol miteux. Un tel effort usait beaucoup d’énergie vitale. Le Vieux Loup félicita son homme de main à l’instar d’Ashi et Oona, qui l’applaudirent humblement. Agenouillé, Eko courba l’échine, comme un artiste qui salue son public, fier, mais très éprouvé par son numéro.•Magnifique ! Bravo ! S’extasiait le Vieux. Impressionnant ! Très impressionnant ! Pas vrai, Atsu ?Atsu resta muet. Et sourd, aussi. Il n’entendait plus, ne se sentait plus capable de parler et il voyait trouble, comme dans une bulle hermétique dont les parois s’empliraient de buée après qu’on ait dégagé assez d’air pour essayer de s’en dépêtrer. Quand la totalité du liquide de vie fut écoulée, on détacha Yoko, puis on la remit à son mari. Elle était consciente, mais encore sonnée, toute dégoulinante, toute visqueuse et beaucoup trop faible pour marcher. Atsu se courba légèrement et fit passer le bras gauche de sa femme autour de sa nuque humide pour qu’il puisse la soutenir correctement.•Tu as honoré ta dette, Atsuji. Dit le vieux. C’est un peu tard, certes, mais un délice n’arrive jamais trop vite, n’est-il pas ?•Oui… Bredouilla Atsu.****Personne ne pipa mot sur la route du retour. Lorsqu’ils arrivèrent aux abords de Tokyo, à un feu rouge, Atsu libéra Yoko du bandeau qui avait obstrué sa vue durant ce périple lubrique. Il pleuvait. La pluie ricochait sur le carreau de la Honda avec férocité, comme si des cailloux tombaient du ciel. Inquiet, Atsu se rongeait les ongles. Malgré ses diverses sollicitations au cours du trajet, elle n’ouvrit pas une seule fois la bouche et comme il la surveillait du coin de l’œil, il vit qu’elle ne clignait pas non plus des yeux. Était-elle malade ?•Ça va, mon amour ?Pas de réponse. Il posa une main sur la cuisse son épouse. Glacée. Oui, elle pouvait être tombée malade, après tout, le corps humain n’avait pas été élaboré pour recevoir une telle dose de sperme d’un seul coup.Atsu s’envoya whisky sec dès qu’il rentra. Un, puis deux, puis trois. Puis il se mit en caleçon, déboutonna sa chemise et se vautra devant la télévision. Tout se déroula normalement jusqu’au repas du soir. Yoko prit une douche et prépara le repas, du riz blanc et du poisson cru, pour changer. Et une soupe de poulpe aussi. Atsu détestait ce plat, mais il s’abstint de la moindre réflexion,il avait plutôt intérêt à bien se tenir s’il voulait éviter une scène de ménage.•C’est délicieux, ajouta-t-il. Tu es une reine, ma chérie.Pas une réaction. Rien qui trahissait tel ou tel sentiment après ce viol forcé et consenti par lui, son mari vicieux. Je suis une ordure, pensa-t-il. Un moins que rien ! Et si je me suicidais ? C’est ce qu’il y a de mieux à faire. Elle ne voudra plus jamais m’adresser la parole. Mon honneur ne peut être lavé autrement.Et alors qu’ils s’endormaient dans le lit conjugal, sans un bruit, sans un mot, à la lueur d’une bougie qui vacillait à la même cadence que l’âme torturée d’Atsuji, en érection et diablement honteux de l’être, Yoko se tourna subitement vers lui. Il paniqua, se confondit à la première personne ;•Je…Je…Elle le fusillait d’un regard…Amical. Oui, amical, c’était le mot. En fait, épris était un terme encore plus juste.•Merci.•Quoi ? S’étonna Atsu. Qu’est-ce que t’as dit ?•J’ai dit… Merci. Je croyais que tu allais encore oublier notre anniversaire… avoua Yoko en mordillant sa lèvre inférieure. Je dois dire que je n’ai pas été déçu !•Notre…Elle se jeta sur lui sans lui laisser le temps de se souvenir…—Vous avez appréciés ce récit ? Alors soutenez-moi en achetant mes romans “Fourreurs Nés” et “MILF”, dispo chez Tabou edition, sur amazon, la fnac et dispo dans toutes les bonnes librairies.Et ils firent l’amour. Et ce fut bon. Bon de se sentir trop à l’aise dans ce monument profané, encore chaud et élastique à cause des récents assauts qu’il avait subis plus tôt dans la journée. Bon de faire l’amour. Bon, tout simplement bon. Meilleur que jamais.

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